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Dans un monde où les humains semblent ne plus exister et où les villes sont habitées par des robots mélancoliques, incarnez un chat errant et parcourez une immense cité pour résoudre le mystère qui l'entoure. Vous pourrez dormir dans des cartons, faire tomber des objets des tables, fouiller dans des sacs, faire vos griffes partout… Mais attention à ne pas vous laisser distraire ! Les androïdes ont besoin de vous pour quitter leur sombre cité.

Développé par BlueTwelve Studio, Stray est un excellent jeu indépendant à l'ambiance très particulière. Porté par une très belle bande originale et des décors magnifiques, le jeu vous laisse le loisir d'explorer la ville dans ses moindres recoins afin de trouver ce qui est arrivé aux humains… et surtout, comment quitter cette prison qui sert de ville aux robots.
 

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Pulchérie, la trentaine passée, prend enfin conscience de son corps, de son être et surtout d’un organe si souvent tabou : le clitoris.

« L’affaire clitoris » est, comme le titre peut le sous-entendre, une bande dessinée de reportage. Nous allons, par une enquête minutieuse, partir à la découverte d’un organe féminin des plus importants et pourtant encore de nos jours très méconnu : le clitoris. Il est, selon la définition du Larousse, un « organe érectile de l'appareil génital féminin externe, principalement composé de deux bulbes bordant la vulve et d'un gland (ou clitoris au sens strict), situé au-dessus de l'orifice urétral. ». Très bien, mais encore… ? A quoi sert-il ? Comment est-il fait ? Et surtout, pourquoi depuis des siècles, il est invisibilisé dans nos sociétés patriarcales ? Tant de questions qui trouveront réponses dans cette excellente bande dessinée de vulgarisation. Science, philosophie, croyance sont autant de thèmes abordés par les autrices via cet organe de 10 cm qui n’est que depuis 2017 correctement représenté dans les manuels de SVT.

Ce titre est classé dans nos rayons adultes, mais il peut vraiment être conseillé à un plus jeune public tant sa valeur est éducative et pédagogique, libératrice d’un plein épanouissement personnel.

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C’est la fin de la colonie de vacances, le dernier jour, plus précisément. Il y a dans l’air une ambiance particulière, celle des derniers moments ensemble, avant la séparation, avant le retour au quotidien, au banal. C’est un moment suspendu, un moment d’éternité, sous un ciel bleu azur immense, intense qui a quelque chose d’irréel.
Alors on baisse la garde, on se laisse aller, on célèbre l’instant, l’excitation est palpable. On pique-nique et on plonge, on éclabousse, on bouscule l’équilibre sensible du fleuve. Oui mais dans la Loire on ne se baigne pas ! Dans la Loire, souvent, on se noie !
Lentement, la trame du drame se dessine ? Le fleuve sera-t-il clément ? Laissera-t-il à ces adolescents le temps de vivre ? Le souhaitent-ils d’ailleurs vraiment ?

Une écriture à fleur de peau, qui tend vos nerfs, qui charge l’air comme un jour d’orage, jusqu’à l’explosion. Un remarquable sens du rythme, et une analyse très fine, de cet âge, si particulier, qui hésite entre deux mondes.
Un roman avec une magnifique gueule d’atmosphère, qu’on embrasse à pleine bouche et qui vous laisse, sur les lèvres, un goût doux-amer, celui des années révolues, celles où tout était une première fois.

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C’est le dernier jour de la colonie, un instant suspendu, où l’insouciance flotte encore avant la séparation imminente. Dans le car, la climatisation est en panne et la chaleur écrasante. On décide de s’arrêter pour un pique-nique au bord de la Loire. Benoît, le directeur, et Pauline, la jeune animatrice, encadrent la bande d’adolescents. On joue au ballon, aux cartes, on rit… jusqu’au moment où une voix s’élève : « On va se baigner ? ».
Mais la Loire n’est pas une rivière docile. Puissante et imprévisible, elle impose une menace latente. Ceux qui s’y aventurent prennent le risque de briser l’équilibre fragile entre jeu et drame. Peu à peu, la tension monte, invisible, mais omniprésente. Ce qui semblait être un instant parfait pourrait basculer à tout moment. Le fleuve devient un personnage à part entière, à la fois magnifique et dangereux.

Avec une écriture percutante, Guillaume Nail capture cet âge de tous les possibles, où l’audace se confronte à la fragilité. Chaque protagoniste porte en lui des ambiguïtés et des vulnérabilités. L’amitié se manifeste dans la fougue, les affrontements, cette illusion d’immortalité propre à l’adolescence.

Inspiré d’un drame réel survenu en 1969, ce roman coup de poing, aussi poétique que brut, marque profondément, laissant une empreinte indélébile — celle d’une jeunesse qui ne mesure pas toujours le poids du réel.

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Au royaume des Six-Ponts la vie s’écoule plus ou moins paisiblement pour Anne, la tavernière. Son établissement est en reconstruction et sera fin prêt à recevoir tous les convives invités pour le mariage de son amie d’enfance, la fille du roi. François, l’ancien forgeron, maintenant soldat, n’est enfin plus amoureux d’elle, ouf... La reine, acariâtre personnage, semble elle aussi faire profil bas. Bref tout va bien... Sauf que non, en vérité, en coulisse un terrible drame se joue et va frapper pour changer à jamais la destinée de tous nos protagonistes... C’est avec joie que nous retrouvons les aventures de Anne. Débuté en 2009, notre chère tavernière a égaillé l’espace de 6 albums la vie de vos chérubins et de tous les lecteurs qu’elle a croisés. Véritable petit ovni à sa sortie par le fait d’une écriture différente pour l’époque, par son style humoristique sans pareil, « le royaume » s’est rapidement imposé comme un incontournable jeunesse. Ce dernier volume, car oui, les meilleures choses ont une fin, est différent des albums précédents. Pour commencer, il peut être lu séparément, il forme à lui seul un tout, mais peut également faire office de suite et de conclusion à la saga. L’histoire plus sombre, plus complexe, mais dont l’atmosphère générale est toujours aussi légère et drôle, est truffée de mystères et de rebondissements. A aucun moment l’ennui n’est présent. L’histoire est partagée entre des scènes d’actions, d’humour et d’émotions, le tout savamment équilibré. Jamais méchant, mais subtil et intelligent, le récit s’adresse aux enfants comme aux adultes, les deux y trouveront leur bonheur et peut-être même des moments de partage. Pour terminer je parlerais volontiers de l’illustration car pour moi, Benoît Feroumont est aussi un immense illustrateur. Son trait respire la vie, ses personnages sont charismatiques, les contours fins et précis permettent une lecture de l’image avec clarté. Il est adepte du gaufrier et des plans moyens concentrant au maximum l’attention sur la scène et l’action en cours. Une réussite pour une œuvre devenue un classique de la bande dessinée et un auteur talentueux que j’espère un jour recevoir dans votre Espace COOLturel !   - Michaël

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Comme tous les membres de sa famille, même le chien, Eliott a plusieurs ballons de couleurs. A l’intérieur on y trouve, des souvenirs : un anniversaire, un mariage, une partie de pêche…
Grand-père en possède énormément. Elliot est très proche de lui. Il aime beaucoup l’écouter raconter toutes les merveilleuses histoires contenues dans ses ballons. 
Hélas, avec le temps, un à un, les ballons de Papi s’envolent. Elliot ne comprend pas ce qui se passe …

Jessie Oliveros aborde avec sensibilité, à travers la complicité de l’enfant et de son grand-père, le temps qui passe, la vieillesse et surtout la maladie d’Alzheimer. Les ballons tenus par un fil est une métaphore graphique des souvenirs, douce et bien adaptée au jeune public.
Dana Wulfekotte a choisi d’illustrer en noir et blanc, sauf pour les ballons, qui eux sont colorés. Cela renforce la tendresse éprouvée et la poésie de l’album.
Une très jolie histoire émouvante, remplie d’amour et bien sûr d’espoir, pour évoquer avec les enfants un sujet encore peu traité en littérature jeunesse. 
« Les ballons du souvenir » m’a beaucoup touché sans être fataliste.

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Les États-Unis d’Amérique sont enfin prêts, suffisamment « civilisés » pour découvrir le merveilleux chocolat suisse. Cependant, seules les vaches suisses donnent la meilleure des crèmes et le voyage jusqu’au nouveau continent les a un peu fatiguées. Afin de les requinquer, une mise au vert est nécessaire. C’est Lucky Luke qui sera choisi pour cette mission. Il fera équipe avec Bud, un cow-boy qui vit mal la fin de son histoire d’amour… avec un autre cow-boy… Entre violences et menaces, il trouvera en Lucky Luke une aide précieuse.

En parallèle de la série régulière de Lucky Luke, sans saveur depuis malheureusement un bon moment, paraît une série dite « hommage » qui, elle, ne cesse de surprendre par ses choix éditoriaux : des récits de  caractère avec du fond et une réelle prise de risque. Le Lucky Luke de Ralf König est peut-être l’un des plus réussis. Il arrive à fusionner son univers à celui de Morris, tout en gardant son originalité et l’essence propre de « l’homme qui tire plus vite que son ombre ». Le résultat est une histoire singulière, pleine d’humour et de jeux de mots, mais surtout un plaidoyer pour la différence et la cause homosexuelle. Surnommé le « Bretécher gay », Ralf  König est un maître allemand de la bande dessinée humoristique,  maître du comique de situation et de mots, qu’il dégaine encore fois avec talent.

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Une petite merveille d’émotion pour ce titre jeunesse qui s’adresse à un large public.
Le récit de Mario Torrecillas est linéaire et fluide, il traite du football, sous l’angle du recrutement, mais pas que… Ici nous sommes les témoins d’une relation compliquée père/fils, il est question de rédemption, de responsabilité et de rêves… L’illustrateur, Artur Laperla, rend également une copie impeccable, son style basé sur la simplicité, la lisibilité et l’utilisation de couleurs vives, colle parfaitement à la dynamique du récit. Une vraie pépite espagnole offerte par les éditions « Nouveau Monde Graphic ».  - Michaël

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Un joli jeu de cartes où il vous faudra compter vos points… à l’envers !

Cette mécanique particulière sera vite prise en main, et que vous ayez remporté la partie ou subi une défaite écrasante, vous n’aurez qu’une envie : faire mieux !

C’est un jeu stratégique, avec une part de hasard qui saura rétablir l’équilibre entre des joueurs d’âges différents.
En plus de ça, le jeu est très joliment illustré. Chaque carte est unique, pleine de détails que vous remarquerez peut-être au fil des parties.

De 2 à 6 joueurs et à partir de 10 ans. 
 

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L’héroïne fuit une enfance familiale étouffante dans un grand Nord  brumeux et part vivre sa vie d'adulte à Los Angeles aux mœurs libérées. Elle y rencontre une multitude de gens et de situations variées avant d'être rappelée vers ses souvenirs traumatisants par la nécessité de prendre soin d'un être qui l'attend sans la connaître. Sa vie s'en trouve bouleversée jusqu'à... Belle écriture maîtrisée, entre songes, remords et questionnements. Véronique Ovaldé nous entraîne avec talent dans les pas, les pensées et les expériences heureuses ou malheureuses  de l’héroïne ; dans son apprentissage du monde, des amours vrais, mais aussi des plagiaires et faussaires (en écriture et sentiments). Ces brigands qui peuvent ne pas manquer de grâce.  - Catherine

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Hannah Hoshiko est une Nissei, elle est née de parents japonais dans un pays étranger : le Canada. Boucs émissaires au lendemain de la crise de 1929, puis persécutés suite à l’alliance de leur pays avec l’Allemagne nazie, les japonais·es survivent comme iels peuvent dans un pays hostile, pliant l’échine sous les coups répétés de l’administration et de la population.
Jack est blanc, après le décès de sa mère, son père s’est remarié avec une indienne autochtone. Fuyant la « civilisation » il a adopté depuis longtemps le mode de vie des peuples premiers. Il est « creekwalker », son travail consiste à compter les saumons, afin d’établir des quotas de pêche et de préserver, ainsi, l’écosystème de la forêt.

C’est le récit de ces deux êtres, à la marge, que fait avec force sensibilité l’autrice, Marie Charrel. Tour à tour bousculés par l’injustice, heurtés par la mort, blessés par la barbarie, iels perdent l’équilibre, glissent dans les ravines, s’accrochent aux branches et se relèvent chancelants. Les yeux ébahis, le souffle court, nous nous laissons emporter par cette merveilleuse chorégraphie, où s’entremêlent l’opiniâtreté des combats, la confusion des sentiments et la beauté sauvage des paysages. 
Une danse, pleine de mystère où se tissent des liens inattendus. Un magnifique roman construit sur cette question, pierre angulaire : comment trouver dans l’imperfection du monde la beauté nécessaire à la résilience ?

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Ce voyage en voiture semble durer une éternité pour le jeune Oskar, surtout qu’à l’avant ses parent·es ne cessent de se disputer ! Alorspour tromper l’ennui et peut-être un mal-être bien plus profond, il se réfugie dans son imaginaire assez sinistre…

Il aura fallu plus de 8 ans à Brandon Jelinek pour réaliser cette oeuvre monumentale. Huit années d’un travail acharné, entre écriture et illustration, pour construire un récit psychologique et métaphorique. Au final, grand bien lui en a fait, puisqu’il remportera le "Grand prix" du festival international de bande dessinée de Pologne en 2015 et les prix Muriel Awards dans les catégories "Meilleur livre original" et "Meilleur scénario original 2016". Cependant, la lecture de cette bande dessinée n’est pas chose aisée, son côté sombre, voire glauque, pourra être rédhibitoire pour certain·es lecteur·rices, de même que la frontière entre rêves et réalité est souvent ténue, et au final un trouble persiste. Quoi du vrai, quoi du faux ? Peut-être que l’important n’est pas là, peut-être qu’il ne faut y voir qu’un moment onirique dont l’essence est l’imagination du personnage, mais aussi et surtout la nôtre…

Quoi qu’il en soit, « Oskar Ed » ne laisse pas indifférent. Ce road trip nous entraîne dans un voyage surprenant, allant de surprises en révélations. L’histoire est addictive et nous scotche totalement avec sa conclusion.

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Perché au sommet d’une montagne, le hameau de Jakobsleiter abrite une communauté recluse, en harmonie avec la nature et les loups. C’est dans ce décor sauvage que Rebekka grandit, tout en rêvant de s’enfuir. Un jour, elle disparaît mystérieusement.
En contrebas, dans la vallée isolée, encerclée de forêts et de montagnes, les disparitions de femmes se succèdent, étrangement ignorées. Smilla, jeune stagiaire dans le journal local, n’a jamais surmonté la perte de sa meilleure amie, disparue dix ans plus tôt. Intimement convaincue que tout est lié, elle décide de mener l’enquête.

Avec Les enfants loups, Vera Buck nous entraîne dans une atmosphère dense et envoûtante. La nature y est omniprésente. À travers les voix entremêlées des nombreux personnages de ce roman choral, les pièces du puzzle s’assemblent peu à peu. La tension monte, et les rebondissements nous tiennent en haleine jusqu’à la dernière page.

Un thriller captivant qui ravira les amateurs de suspense sombre, d'histoires de secrets enfouis et de paysages aussi beaux qu’inquiétants.

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La jeune comtesse Serine n'a que faire des révérences, des bonnes manières et des mariages. Mais pour sortir ses sept petits frères de la pauvreté, elle décide de devenir demoiselle de compagnie au château ! La tâche s'avère ardue : la reine est capricieuse, antipathique et tyrannique. Cependant, Serine ne manque pas d’imagination et parvient à se faire une place à la cour. Elle y découvre alors manigances, intrigues et complots qu'elle tentera de déjouer au péril de sa vie…

Une lecture entraînante et rafraîchissante, grâce à l'imagination, à l'ingéniosité et à l'humour de Flore Vesco ! L'autrice manie la langue française avec beaucoup d'humour et de finesse, faisant de ce premier roman une vraie réussite. 

Entre calembours et contrepèteries, elle aborde les questions de justice sociale et de pouvoir, grâce à un personnage principal qui ne laisse pas de marbre ! L'audace et la ruse de Serine, qui se joue de la cour et de ses manières avec légèreté, vous embarqueront dans une aventure sans répit et pleine de rebondissements !

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Autant vous le dire de suite, ce titre est extrêmement dur par son intensité émotionnelle. Le Perroquet est une autofiction poignante qui traite des troubles de la bipolarité à tendance schizophrène. Espé livre un récit aussi personnel qu’universel, celui d’un enfant perdu dans une réalité où l’imaginaire est le seul refuge ; dans son regard, on ne lit qu’incompréhension et douleur face à la maladie de sa mère. Page après page, nous sommes les témoins impuissants de scènes insupportables qu’on ne peux, après avoir refermé l’album, se sortir de la tête. Parfois la réalité est bien plus cruelle que la fiction et il faut énormément de courage pour écrire, nous livrer un pan de ce passé si monstrueux, mais c’est également une formidable once d’espoir pour, à défaut d’oublier, savoir continuer à vivre. Merci M. Espé.  - Michaël

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Le cadeau idéal pour la Saint-Valentin !

« Lover Dose », la nouvelle bande dessinée de Fortu, est une compilation de scénettes humoristiques dont le point commun est la vie de couple.

Tout y est abordé, rien n’est oublié, et chacun, chacune en prend pour son grade, mais saura très certainement s’y retrouver… un peu, beaucoup, à la folie !
Parfois absurde, parfois sarcastique, ou encore dans l’exagération, l’humour de Fortu fait mouche. Il livre ici un registre comique complet, axé sur l’observation et écrit avec esprit.

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Cette bande dessinée biographique traite d'une figure emblématique de l'agriculture écologique : Akinori Kimura. Pas vraiment destiné à devenir agriculteur, Akinori, par les aléas de la vie, va devoir reprendre l'exploitation fruitière de son père. Étonné par le nombre de pesticides à utiliser pour faire de belles pommes, il va dévouer sa vie à trouver des solutions naturelles pour exploiter son verger... quitte à ruiner sa famille. Totale réussite que ce titre japonais sur une personnalité internationale de l'agriculture naturelle et raisonnée, peu connue en France. Il nous entraîne dans le Japon rural des années 50, sous le joug des traditions et de la productivité à tout prix. Pourtant, seul contre tous, un homme va oser proposer une alternative. Captivant et historique !  - Michaël