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Bee a dix-huit ans. Elle a décidé, pour l'été, de traverser les Etats-Unis à bicyclette. Mais après seulement une journée de voyage, elle est contrainte de s'arrêter dans un motel, son vélo réduit en miettes dans un accident. Elle rencontre alors Cyrus, mystérieux homme d'entretien aux curieuses habitudes : dérober des médicaments aux clients et retoucher les tableaux qui ornent les murs des chambres.

La traversée avortée d'un pays à vélo se transforme ici en récit initiatique nous faisant accompagner Bee dans son passage de l'adolescence à l'âge adulte. Des sentiments neufs, le sexe, la drogue, la vie en marge et le goût du risque : un voyage haut en couleurs !  - Michaël



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Pauline se fait arrêter en 2014 à Tunis, à l’arrière d’un véhicule de police elle voit défiler la ville, quelques instants suspendus, derniers témoignages de liberté avant de longs mois de détention.

Des tâches de rouille, un mur rouge, lézardé de fissures et cinq bandes noires, larges, implacables : une couverture qui nous plonge immédiatement dans la dureté du monde carcéral. L’insalubrité, l’enfermement, la surpopulation étouffante et les autres dangers permanents, les crimes et le sang : voilà à quoi on s’attend ! Mais, derrière cette image il y a autre chose, un secret qui fait toute la grandeur de ce roman. Au fil des jours d’emprisonnement, des destins qui se dévoilent, ceux des codétenues de l’autrice, des verrous qui sautent au hasard des confessions et soudain, une profonde humanité.
Alors, les larges bandes noires se muent en silhouettes de femmes, plus de barreaux aux murs, des êtres solidaires qui défient l’oppression, celle des hommes, d’une société patriarcale qui les a jetées là, souvent à tort et de façon arbitraire. Dans le sang rouge des crimes on distingue de merveilleux reflets ceux de la lutte, de l’entraide, de la chaleur humaine et de l’amitié.

Plongée dans la torpeur suffocante des journées interminables, l’autrice, dépose sur nos peaux, un murmure, un souffle, une respiration : les récits des vies de chacune de ces femmes, des instants précieux volés à la détention.

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"Léon Blum, une vie héroïque" de Philippe Collin est une œuvre exploratrice de la vie d'un homme qui a su, malgré les épreuves, rester fidèle à ses convictions : aider les plus démunis.
Leader courageux et déterminé, il a navigué dans les eaux tumultueuses de la politique avec intégrité et conviction.
Sa vie est un témoignage de résilience et de force de caractère, des qualités dont nous avons tant besoin aujourd'hui.

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Lorsque les parents se séparent, il n’est pas toujours facile pour un enfant de trouver sa place, surtout quand on a deux maisons pour deux nouvelles vies… Melanie Walsh, par cet album tendre et réfléchi, décrit simplement, en quelques mots, la vie des enfants de parents séparés. Les thèmes habituels de la douleur ou de l’absence sont volontairement absents de ce récit qui se concentre sur des aspects plus « prosaïques », mais pas moins importants.
Du coup, ce titre n’est pas plombant, au contraire, il est même positif et rassurant pour l’enfant. Par un système de rabats-surprises, l’autrice joue à nous faire découvrir la vie chez l’un, puis chez l’autre, sans jamais donner un jugement de valeur. Elle conclut son histoire avec douceur et laisse entrevoir la multitude de facettes que peut prendre l’amour familial. « Chez papa et chez maman » est un album incontournable sur la thématique de la séparation qui ne l’expliquera pas, mais qui saura rassurer nos enfants sur le quotidien, leur avenir et l'amour que leur portent leurs parents. Et c’est bien cela le plus important.  - Michaël

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A l’école, des andouilles ont décrété que Kate était la petite fille la plus moche de l’école. Ils la surnomment « Kate Moche ». Ils se moquent d’elle toute la journée, et disent qu’elle n’est pas très maligne. Alors, quand Kate rentre de l’école, elle se regarde dans le miroir et pense qu’il y a mille autres façons de la décrire !
Elle s’imagine être une scientifique expérimentée, une doctoresse dévouée, une astronaute adroite ou encore une ninja acrobate. Un jour, Kate aura des rues à son nom, comme Simone Veil, Simone Signoret ou Simone de Beauvoir. Car Kate peut tout faire, oui, vraiment tout !

Cet album véhicule un joli message sur l’acceptation de soi et le pouvoir de l’imagination. Malgré ce qu’elle subit dans la cour de l’école, Kate garde la tête haute et confiance en soi en se réfugiant dans ses rêves. Il aborde donc le difficile sujet du harcèlement scolaire, avec beaucoup de tact mais aussi beaucoup de franchise, sans édulcorer la méchanceté que peuvent parfois avoir les enfants les uns envers les autres.

Les illustrations de Magali le Huche sont remplies d’humour, notamment celles qui mettent en scène Kate dans sa salle de bain, à fond dans son univers. Les couleurs vives donnent du tonus au récit et appuient le caractère ferme et bien trempé de la petite héroïne.

Ce livre est un rappel utile à transmettre à toutes les petites filles (et les petits garçons aussi !) : peu importe ce que les autres en disent, vous pouvez devenir qui vous voulez !

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C’est l’histoire d’un homme et d’une femme. Tous deux connaissent des troubles de la personnalité et sont de ce fait de tristes marginaux. Le destin va les réunir, leur redonner goût à la vie, mais d’une façon bien déroutante... Étrange et originale, « Les petites distances » est une comédie romantique teintée d’un brin de fantastique. Nous suivons les personnages dans leur quotidien jusqu’au moment où l’inexplicable surgit. Et de là, l’histoire se démarque et nous entraîne dans un monde sans logique, mais captivant. L’illustratrice Camille Benyamina traite le sujet avec finesse et délicatesse. Grâce à l’aquarelle, elle déploie des tons doux et légers, voir transparents... Un très beau titre à lire le soir pour faire de doux rêves.  - Michaël 

 

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Tiens ! Voici un gnome. Comme il a l’air gentil et tout mignon avec son petit bonnet rouge…  Ah bah non, pas du tout. Monsieur le Gnome est quelqu’un de très ronchon, voire même de très antipathique ! A être aussi désagréable, des ennuis pourraient bien lui arriver… « Monsieur le Gnome » est un album rigolo dans son récit, mais aussi par ses illustrations. En effet, l’artiste britannique Fred Blunt possède un style graphique unique, oscillant entre le genre « toons » et le « maître » Quentin Blake. Chaque page de l’album génère un sourire par les mimiques des personnages, mais aussi par une mise en scène efficace. Au premier abord, avec un regard non averti, on pourrait penser que le dessin est simple, mais il n’en est rien. Ici, l’artiste a cherché, recherché  la juste expression avec un minimum de traits. Les couleurs sont également choisies avec réflexion, elles accompagnent, sans le noyer, l’effet caustique du crayonné. L’ajout de matière, peu, mais juste assez, parachève chaque planche. L’histoire appartient au registre de la comédie. Son écriture, rythmée et théâtralisée, permet de jouer, de donner vie à l’album. Aussi ce livre permet un beau moment de rigolade entre enfants et parents. Et pour finir, dans les dernières pages, nous apprenons un terrible secret, moins drôle, mais que la morale nous empêche de dévoiler…  « Monsieur le Gnome » est un album sans prétention, dont la seule ambition est de vous divertir et c'est chose réussie !  - Michaël

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Le rêve d’Arno est de devenir astronaute, mais issu d’une famille sans un sou, les souhaits sont souvent bien plus difficiles à réaliser... « Arno », avant d’être un bel album jeunesse, est une leçon de courage, une leçon de vie. Celle d’aller au bout de ses rêves malgré les obstacles qui peuvent parsemer son chemin. Bien sûr, toutes les histoires sont différentes et n’ont pas la même fin, mais ne dit-on pas qu’il vaut mieux vivre de remords que de regrets ? Ce titre illustre ce propos à merveille car, malgré les difficultés, notre jeune ami garde espoir et fait une rencontre, la rencontre qui change une vie. Je ne parle pas d’âme sœur, mais de ces personnes qui vous tendent la main lorsque vous en avez le plus besoin. De ces personnes qui vous aident un temps et vous laissent prendre votre envol sans rien attendre en retour. Oui « Arno » est un très bel album sur ce que l’humanité a de plus beau à offrir. Ximo Abadia nous offre également de très belles illustrations. Artiste surréaliste espagnol, il excelle dans les compositions, mélanges de couleurs, de collages et de dessins. « Arno », ou « Toto » dans sa version originale, est tout simplement un livre qui fait du bien.  - Michaël

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C’est le grand jour. Après deux ans d'absence, le grand frère de Vonceil, parti combattre sur le front de la Première Guerre mondiale, est de retour.
Cependant, il n’est plus celui qu’il a été : la guerre l’a transformé, changé. Le champ de bataille a fait son œuvre, il est un autre homme maintenant.
Mais si la guerre n’était pas la seule responsable de cette transformation… Si là-bas, dans ce carnage, il avait fait une rencontre : une femme, une sorcière, une malédiction…
Quoi qu’il en coûte, Vonceil doit sauver son grand frère. Elle s’élance alors pour un étrange voyage qui pourrait bien, elle aussi, la changer à jamais.

"Les contrées salées" est une bande dessinée jeunesse dont l’écriture et l’illustration sont remarquables.
Remarquable pour le premier, par le rythme imposé : pas de temps mort, une intrigue qui, page après page, prend de l’épaisseur et vous tient en haleine jusqu’à la dernière page. Les personnages sont aussi une réussite, très bien définis, iels semblent tellement vrais, chacun, chacune avec ses forces, mais aussi ses fêlures.
Remarquable pour le second, par son trait vibrant de différentes cultures, à la fois comics, mais aussi manga. Un trait énergique, magnifié par un découpage et une mise en scène tournés vers l’action et la dramaturgie.

En mêlant habilement aventure, émotion et fantastique, "Les contrées salées" propose un récit initiatique fort, porté par une héroïne déterminée et inoubliable. Une lecture captivante, à recommander sans hésiter aux jeunes lecteurs comme aux adultes curieux.

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Skender est un ex-légionnaire aux abois, trop de guerres, trop de violence, trop d’alcool et les mauvaises rencontres aux mauvais moments lui ont fait dégringoler l’échelle sociale en passant par la case prison. Il survit dans un bois en périphérie de la ville et de temps en temps, il se cache pour apercevoir ses enfants à la sortie de l’école. Bref, sa vie est dévastée, jusqu’au jours où il croise un vieille ami, Max, un ancien frère d’arme.
Une rencontre fortuite qui ne l’est pas. Max le piste depuis quelques semaines, il a une proposition à lui faire, devenir gibier pour son employeur, une riche veuve passionnée de chasse.

Jusqu’ici rien de très original, le thème de la chasse à l’homme a été visité et revisité maintes fois depuis l’excellent récit « Le plus dangereux des jeux » de Tod Robbins en 1925 (également disponible à la médiathèque). L’intérêt de ce roman ne réside donc pas dans ce point de départ un peu éculé, mais dans l’approche subtile et surprenante de l’auteur, le biais qu’il va prendre pour nous balader en forêt à mille lieux de là où l’on pensait arriver. Car ici il n’est question, ni de chasse, ni de traque, mais plutôt de sentiments, d’amitié, d’amour, de trahison des autres mais aussi de soi-même, de dignité, de rachat et peut-être de renaissance et de résurrection.

L’auteur nous plonge tour à tour dans les entrailles de ses trois personnages, Skender, Max et sa patronne. Peu à peu iels prennent forme comme un paysage, trois tableaux bruts et sensibles, qui s’assemblent pour former ce magnifique triptyque que constitue l’ouvrage de Lucas Belvaux.

Un roman particulièrement bien construit et profondément humain.

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Durant la Grande Dépression, trouver un travail relève du miracle. Alors lorsque John Clark, jeune photographe, décroche un contrat pour la FSA (Farm Security Administration), sa joie est immense, d’autant qu’il associe ainsi passion et travail. Pourtant sa mission - aller photographier la misère qui règne dans la région sinistrée d’Oklahoma, ravagée par les tempêtes de poussière - va profondément le bouleverser et le pousser à se remettre en question. Cette œuvre de fiction à caractère historique focalise particulièrement notre attention sur une région des États-Unis très meurtrie par la crise économique des années 1930. Elle met en lumière la dramatique crise climatique provoquée par l’agriculture intensive, plus méconnue. La région du Dust Bowl (« bassin de poussière ») connaît à cette période une grande sécheresse qui aggrave et multiplie les tempêtes de poussière. Ces phénomènes hors norme, inimaginables dans nos contrées, sont dévastateurs. Les terres sont inexploitables et la vie, la survie, relève du miracle. La Farm Security Administration, l’agence gouvernementale américaine créée pour combattre la pauvreté rurale, a développé un programme de documentation photographique d’une ampleur unique, témoignage précieux de la vie des Américains de l’époque. Grâce à cela, Aimée De Jongh livre un récit dur, âpre, qui surprend, questionne et dénonce principalement la manipulation des médias, des images, toujours à la recherche du bon cliché, du sensationnel. Lorsque l’on ferme ce livre, une pensée émue nous traverse pour ces femmes, ces hommes, leur courage et résonnent en nous les mots de John Steinbeck : « ils ont le sang fort ».  - Michaël

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« Le poids des héros » est un récit autobiographique dans lequel David Sala nous raconte son enfance dans les années 80, mais surtout sa réalisation de soi dans l’ombre des horribles récits racontés par ses grands-pères. Tous deux ont connu la dictature franquiste puis la Seconde guerre mondiale. Ils ont vécu et survécu à bien des cauchemars. Ils sont des survivants, mais pour les yeux d’un enfant, de véritables héros. Alors pour un jeune esprit, que penser de sa vie actuelle, si ce n’est qu’elle est bien facile, bien ordinaire comparée à celle de ces monstres sacrés. Ce trouble ne le quittera jamais, mais au lieu de l’enfermer, il puisera en lui pour créer, écrire, peindre une œuvre de mémoire, salutaire, afin de trouver au final sa place, son rôle : celui de conteur.

Tendre et mélancolique, cette œuvre aux peintures magnifiques possède un vrai ton, différent, comme un appel, à ne pas oublier.

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1927, Etats-Unis, le Mississippi est en crue. Rien ne lui résiste : digues, plantations et villes sont englouties sous la violence des eaux.  Dans cette Amérique en souffrance, un seul homme semble détenir la force de contrer cette nature hostile. Mais saura-t-on lui faire confiance ? Pourra-t-on lui demander de l'aide ? A lui cet homme de couleur ? Il est le seul capable d'aider hommes et femmes dans ces coins reculés et en proie au racisme...

 

Mark Waid, sur un fond historique, a écrit un récit humaniste, teinté certes de noirceur, mais ô combien empli de courage, d'intelligence et de partage. Dans cette quête, il est aidé par un artiste talentueux : M. Jones, magicien qui réalise des aquarelles de toute beauté. Il peint les visages, les corps et les situations avec subtilité et justesse. Il pousse le souci du détail à son paroxysme. Tout parait tellement vrai, telles les vieilles photographies d'antan. Un album qui parle de super pouvoirs sans être véritablement une bande dessinée de super-héros. Un album qui parle et dénonce le racisme aux Etats-Unis, et qui malheureusement est toujours d'actualité.  - Michaël

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Marius adore sa Tata, elle sait tout faire, surtout communiquer son énergie et sa bonne humeur. Pourtant quelque chose le tracasse... sa Tata a de la barbe sous les bras ! Plus que papa et que lui-même, qui n'en a même pas!... Mais quel est donc cet étrange mystère ? Vous l'aurez certainement compris, « Tata a de la barbe sous les bras » est avant tout un album rigolo, sans autre prétention que de nous faire rire. Il tient ce rôle à merveille, pile poil ce qu'il faut pour redonner le sourire aux petits lecteurs de mauvais poil. N'attendons pas un quelconque message ou une bien une morale, si ce n'est caresser dans le sens du poil les féministes et autres adeptes du naturel.
Florence Dollé, qui n'a pas un poil dans la main, nous offre des dessins aussi rafraichissants que le texte. « Tata a de la barbe » est un livre à lire près du poêle, ou ailleurs... Un récit au poil !  - Michaël

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Il est rare qu’en bibliothèque on vous parle de plaisir. Il y a bien sûr le le plaisir de la lecture, du partage, de la découverte et c’est déjà bien. Pourtant il est un plaisir un peu plus tabou, sujet de certains livres, qui est tu. C’est dommage quand même... il est plus facile de parler de choses horribles comme de crimes, de guerres et ou encore d’ignominies de toutes sortes, que de choses qui font du bien, de sexualité, pour ne pas dire le mot « SEXE » ! Pourtant, depuis quelques années les livres sur le sujet se multiplient, se diversifient et apportent bon nombre de conseils pour un plein épanouissement. « Jouissance Club » est sans nul doute devenu une référence en la matière. Sa force est de s’adresser aux femmes comme aux hommes et d’aborder l’art du plaisir sexuel dans la plus grande des simplicités. Les femmes comme les hommes apprendront à se donner ou à donner du plaisir, et donc seul·e ou avec partenaire. Grâce à des illustrations épurées, Jüne Plã, artiste aux multiples talents et connue pour son compte Instagram « Jouissance Club », explique efficacement différentes pratiques, techniques sexuelles. Cependant, limiter cet ouvrage à un simple manuel d’éducation sexuelle serait dommage, car c'est un vrai travail de déconstruction des stéréotypes, des idées reçues et des clichés. Jüne Plã ne parle pas d’une, mais des sexualités, car elle est différente selon chacun·e : asexuelle, hétérosexuelle, homosexuelle, bisexuelle, pansexuelle, mais toujours et le plus important, dans le respect mutuel. « Jouissance Club » est un livre important, fondateur, qu’il serait dommage de dédaigner.  - Michaël

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Perché au sommet d’une montagne, le hameau de Jakobsleiter abrite une communauté recluse, en harmonie avec la nature et les loups. C’est dans ce décor sauvage que Rebekka grandit, tout en rêvant de s’enfuir. Un jour, elle disparaît mystérieusement.
En contrebas, dans la vallée isolée, encerclée de forêts et de montagnes, les disparitions de femmes se succèdent, étrangement ignorées. Smilla, jeune stagiaire dans le journal local, n’a jamais surmonté la perte de sa meilleure amie, disparue dix ans plus tôt. Intimement convaincue que tout est lié, elle décide de mener l’enquête.

Avec Les enfants loups, Vera Buck nous entraîne dans une atmosphère dense et envoûtante. La nature y est omniprésente. À travers les voix entremêlées des nombreux personnages de ce roman choral, les pièces du puzzle s’assemblent peu à peu. La tension monte, et les rebondissements nous tiennent en haleine jusqu’à la dernière page.

Un thriller captivant qui ravira les amateurs de suspense sombre, d'histoires de secrets enfouis et de paysages aussi beaux qu’inquiétants.