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Yeowoo a 5 ans lorsque ses parents, le jour de son anniversaire, lui annoncent leur séparation. Depuis ce triste jour, elle vit avec sa tante et son grand-père sans jamais aucune nouvelle de sa maman et à peine plus de son père.⁣
Se sentant abandonnée, elle ne sera jamais vraiment en paix, toujours en colère et repliée sur elle-même. Elle ne liera pas de lien affectif avec ses nouveaux tuteur·rices, ni ne se fera de nouveaux ami·es. Cependant, la jeune renarde va rencontrer Paulette, un poule sans poussin qui, attendrie par le caractère revêche de Yeowoo, va la prendre sous son aile…⁣

Yunbo, autrice sud-coréenne, nous propose un récit plein de charme et de tendresse dont le thème, l’abandon, est traité avec beaucoup de justesse. Cette petite renarde - les personnages de cette œuvre sont anthropomorphes – est, malgré son sale caractère, attachante. On se prend vite d’affection pour cette petite fille dont la vie a basculé sans qu’elle en comprenne les raisons. Ses colères, ses bouderies, mais aussi ses émerveillements sont autant de moments forts partager, le personnage en deviendrait presque réel tant les situations sont crédibles et plausibles. Paulette, la poule, n’est elle-même pas en reste, puisqu’elle aussi possède une personnalité rare, délicate, tournée vers le partage et l’entraide. Ce duo, pour le moins étonnant, poule et renarde, trouve un équilibre parfait entre fougue et calme, colère et apaisement. La transmission de l’adulte vers l’enfant se fait petit à petit et, témoins privilégiés, nous observons Yeowoo s’épanouir pour devenir enfin elle-même.⁣

Yunbo est aussi une dessinatrice talentueuse. Ses illustrations, aux traits fins et minutieux, sont expressives et aquarellées parfaitement, donnant ainsi beaucoup plus de douceur et de relief à cette bande dessinée.⁣

« Seizième printemps » est une bande dessinée jeunesse, récit complet de 112 pages qui plaira aux enfants avides de découvertes et d’œuvres différentes.⁣

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L'idée d'une rencontre improbable entre deux êtres que tout oppose paraît d'un romanesque bien banal.
Mais ce serait réducteur de résumer ce beau roman ainsi. Les sentiments des personnages sont si finement décrits qu'on est plus que séduits.
Le rythme s'accélère pour s'approcher du thriller; l'humour cotoie la gravité comme souvent avec Serge Joncour qui ne se prive pas ici  de dénoncer les affres du monde de l'entreprise  et le pouvoir de la loi du marché. Un roman à la fois intimiste et captivant . Un très bon moment de lecture          C.

 

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Quelque part en Afrique, dans un petit village, un enfant est enlevé par un démon : un Yéban. L’enfant doit l’aider à retrouver son chemin jusqu’à son chez lui : les enfers. Cependant ce voyage ne se fera pas sans difficultés ni sacrifices… Le pauvre Kana l’apprendra à ses dépens…

Aurélien Ducoudray nous propose un récit inspiré de différentes légendes et traditions africaines. Ce subtil mélange est aussi surprenant que captivant. Nous suivons ce voyage, cette quête initiatique, sans ennui, tout en développant une certaine affection pour ce duo improbable. Nous effleurons certes la culture africaine, mais c’est déjà un premier pas vers des recherches plus approfondies sur les mythes racontés. Au-delà de cet aspect mystique, « Le repas des hyènes » est également un récit de type « quête initiatique » et chacun·e en tirera - ou pas - sa propre relecture. 

Les illustrations de Mélanie Allag portent parfaitement ce conte. Par ses planches, tantôt sombres, tantôt colorées, elle nous invite dans ce mystérieux continent à la richesse culturelle encore bien méconnue.

« Le repas des hyènes » est une plongée en terre inconnue, un voyage vers des contrées lointaines ouvrant sur des univers insoupçonnés, à découvrir ! 

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Les éditions Martin de Halleux, par un remarquable travail éditorial, font revivre l'oeuvre de Frans Masereel. Ce Belge, un peu oublié aujourd'hui, est l'un des pères du roman sans parole. A la fois peintre, dessinateur, graveur sur bois, il était aussi un artiste engagé, reconnu pour son humanisme et son combat de défense du peuple contre le capitalisme. Pacifiste convaincu, il diffusait ses valeurs grâce à ses livres dont les gravures racontent et dénoncent cette société de l'entre-deux-guerres. Ses livres, qu'il a souhaité accessibles à tous tant dans le fond que la forme, mais aussi par leur prix, ont fait de lui dans les années 1930, un des étendards de la lutte ouvrière allemande. Son oeuvre, aujourd'hui remise en lumière, accompagnée de dossiers explicatifs, éblouit encore par sa réalisation technique titanesque et par le combat de sa vie : la défense des oublié·es, des opprimé·es. Les éditions Martin de Halleux offre à cette œuvre un nouvel et bel écrin qu’il serait dommage d’ignorer. L’Espace COOLturel vous permet de lire les titres à la mode, mais a aussi le rôle de donner à des ouvrages plus intimes, la visibilité, la vitrine qu’ils méritent. C’est chose faite !  - Michaël

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« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

« Quand ils sont venus chercher… » est un poème écrit en 1950 par Martin Niemöller, pasteur allemand. Il y dénonce, avec des mots simples et incisifs, la lâcheté et l’inaction face à la barbarie nazie.
Par cette succession de phrases, Niemöller traduit à la fois ce qu’il n’a pas fait pour défendre les autres et ce qui lui est arrivé lorsqu’il s’est retrouvé seul à son tour visé.
Ce poème est la source de cet album poignant et percutant, où le narrateur, un chien anthropomorphe, raconte l’histoire de son grand-père qui a fermé les yeux sur le drame qui l’entourait. Mais cela ne l’a pas protégé longtemps : le silence n’est pas une armure, n’est pas une arme non plus.

Cet album nous rappelle, avec force et émotion, que se taire face à l’injustice revient à l’encourager, et que chaque voix compte pour défendre la liberté et la dignité humaines.

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« Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste.
Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester. »

« Quand ils sont venus chercher… » est un poème écrit en 1950 par Martin Niemöller, pasteur allemand. Il y dénonce, avec des mots simples et incisifs, la lâcheté et l’inaction face à la barbarie nazie.
Par cette succession de phrases, Niemöller traduit à la fois ce qu’il n’a pas fait pour défendre les autres et ce qui lui est arrivé lorsqu’il s’est retrouvé seul à son tour visé.
Ce poème est la source de cet album poignant et percutant, où le narrateur, un chien anthropomorphe, raconte l’histoire de son grand-père qui a fermé les yeux sur le drame qui l’entourait. Mais cela ne l’a pas protégé longtemps : le silence n’est pas une armure, n’est pas une arme non plus.

Cet album nous rappelle, avec force et émotion, que se taire face à l’injustice revient à l’encourager, et que chaque voix compte pour défendre la liberté et la dignité humaines.

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A la fin du dix-neuvième siècle aux États-Unis, il ne fait pas bon être stérile pour les femmes. Ada, l’héroïne, l’apprend à ses dépens, elle est obligée de fuir son village pour préserver sa vie. Elle trouve refuge dans un couvent, un endroit clos où elle se sent rapidement à l’étroit, une opportunité s’offre alors à elle : rejoindre le gang du Kid et devenir Hors-la-loi.

Anna North, dans ce récit, dépoussière le genre du western et nous offre un nouvel éclairage sur le Far West : merveilleuse contrée où après avoir massacré les indien·nes on pend les femmes qui ne peuvent pas avoir d’enfants. Au-delà de magnifiques descriptions des grands espaces américains, elle livre une fine analyse de la société de l’époque et de ses mœurs. Elle nous décrit comment la religion, et l’ignorance font de celles qui ne peuvent pas donner naissance des boucs émissaires sur lesquels se soulage le reste de la population de la dureté de leurs existences. Elle pose en cela une question fondamentale : faut-il obéir aux lois quand elles sont injustes ? Ou ne vaut-il pas mieux être Hors-la-loi ?

Enfin, en plus de régler son compte au vieux cliché du cowboy, figure de proue de la masculinité au vingtième siècle (RIP John Wayne), cet ouvrage revisite avec brio le genre du roman d’aventure et cultive avec maîtrise l’art du rebondissement. Un des premiers westerns, mené au galop, avec en toile de fond les prairies du Colorado et l’émancipation des femmes.

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Une saga familiale dans la Grèce de 1940 à la période contemporaine. Thémis, le personnage principal livre à ses petits-enfants son passé de combattante contre la dictature des "colonels". Eux qui la croyaient apolitique tant elle s'est fabriqué une autre vie pour protéger les siens. L'occasion de visiter cette période de la Grèce. Une réflexion sur l'engagement, les liens familiaux. Les personnages sont plus qu'attachants, la lecture fluide et passionnante, qu'on ne lâche pas, comme souvent avec la belle plume de Victoria Hislop.   - Catherine

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Après une première partie très dure qui décrit la cruauté, les codes de la violence en milieu carcéral, on est soulagé pour Joseph qui va enfin retrouver sa liberté;mais à quel prix !
La" robinsonnade" qui  s'ensuit est un vrai régal, un rapport à la nature magnifique ! Mais aussi une lutte contre la solitude : plus d'ennemi mais plus personne à aimer.
Et la grande question existencielle : peut-on vivre seul ?
De très beaux moments de lectures telle l'évocation de la longue et patiente approche de l'animal à apprivoiser.
Mon coup de coeur de cette rentrée !
                                                                   C.

 

 

 

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Professeur Goupil a tout ce qu'il veut : une grande maison, une piscine privée, une bibliothèque privée, une salle de cinéma privée, dont il profite à loisir durant la journée. De plus, le professeur Goupil est un "chercheur", et donc, il doit chercher. Pour trouver, il se livre à toutes sortes d'experiences bizarres, jusqu'au jour où tout dérape...

Le professeur Goupil est un personnage particulièrement attachant, qui va apprendre rapidement que la vie est plus jolie lorsqu'on a des amis avec qui la partager. Les illustrations sont douces et maîtrisées, le texte est original : nous n'en attendions pas moins du talentueux duo de la très belle bande-dessinée "le temps des mitaines"...  Nolwenn

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Quand on a déjà navigué on sait qu'il y a quelque chose d'intime qui se joue sur l'océan, quelque chose d'intime et de vrai, sur la mer on est face à soi, sans faux semblant, on ne triche pas et on ne ment pas. Quand on a déjà navigué on sait que cette sincérité est le prix à payer pour que l’océan nous tolère. On sait que pour lui survivre il ne faut pas le contrarier. On sait que tout est fragile et sensible sur la mer, qu’on marche sur un fil, en équilibre sur la ligne d'horizon.
Tout cela l’héroïne du livre, commandante au long court, le sait. Elle sait que la routine est la condition sine qua none pour se maintenir en osmose avec les éléments. Elle le sait et pourtant elle va ouvrir une brèche dans l’ordinaire et basculer dans un univers parallèle, une parenthèse dont vous sortirez transformés.

Un livre plein de mystère, une écriture délicate et sensible qui vous berce comme le sac et le ressac de l’océan et vous emporte vers une destination inconnue. Un subtil mélange de suspense et de poésie, un roman indispensable.

Pour les amoureux·ses de l’océan et de sa petite musique, je vous conseille aussi « Novecento : pianiste » d’Alessandro Barrico, également disponible à la médiathèque.

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Petite devinette : où peut-on partager une bière avec un banquier espagnol tatoué de la tête aux pieds et une enseignante de maternelle aux cheveux rouges déguisée en Vampirella, tout en écoutant en live, le plus grand chanteur de tous les temps, j’ai nommé le merveilleux Iggy Pop et ses fabuleux Stoogies ? Où peut-on danser un pogo avec un chef d’entreprise suédois, un chômeur de Liverpool et une factrice d’Argenteuil ? Où peut-on léviter à deux mètres du sol soufflé par des enceintes hautes comme des immeubles entourés de bisounours déguisés en gros méchants ?
Je vous le donne en mille Emile au HELLFEST, qui contrairement à ce que son nom indique, constitue pour beaucoup de quarantenaires biberonnés aux AC/DC, KISS, Trust et autre Metallica un paradis sur terre et non un enfer.
Pourquoi ? Pour la musique évidemment, mais pas que. Pour le folklore, oh oui ! Pour cette énorme sens de la dérision et du loufoque qui anime tous et toutes les participant·es. Pour le magnifique tonneau des Danaïdes que représentent les 16 bars qui déversent chaque année, avec modération bien sûr, 1 080 000 demis de bière sur la foule pas uniquement assoiffée de sang, comme le voudrait la légende.

C’est cette ambiance si particulière et cette atmosphère complétement déjantée que ce très beau livre et ses splendides photos vous invitent à découvrir. Vous y trouverez aussi une annexe très bien faite qui mesure en chiffres et en diagrammes ce que représente le Hellfest : 844 00  festivalier·ère de 70 nationalités différentes accueillis depuis 2006, 3000 bénévoles... Enfin pour les plus mélomanes (eh oui on utilise aussi ce terme pour les amateur·rices de Death Metal), l’ouvrage est une encyclopédie très complète de la musique Metal, puisqu’il contient une fiche sur chaque groupe ayant participé à l’événement et ils sont pléthoriques.

Pour ceux qui voudraient prolonger l’expérience et retrouver un peu de l’univers rock, trash et foutraque du Hellfest en roman, je vous conseille « Le livre sans nom » de la série « Bourbon Kid » disponible dans le rayon Mondes étranges de votre médiathèque.

 

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Il est des livres qu’on ne souhaiterait pas existants, au sujets répugnants et abjects, encore plus lorsqu’il s’agit d’histoires vraies. Hélène Devynck, journaliste et scénariste, nous propose l’un de ceux là.

Elle et 22 autres femmes accusent Patrick Poivre d’Arvor, célèbre journaliste de TF1, de viols, d'agressions sexuelles et/ou de harcèlement sexuel. Elle y écrit son histoire, mais aussi celle des autres plaignantes dont les témoignages ont été classés sans suite par la justice.
Pour l’AFP, Hélène Devynck déclare : "La menace de la diffamation pèse sur chacun de mes mots. Je ne peux pas prouver que Patrick Poivre d'Arvor m'a violée. Je ne le pourrai jamais. Les faits sont prescrits. Ils ne seront jamais jugés", ce livre est « une lettre, un hommage aux femmes ayant témoigné ». Il illustre parfaitement « l'étoffe dans laquelle se tisse l'impunité ».
L'autrice donne voix à ses "sœurs de misère" : leur "sidération" dans le bureau de PPDA, cette "expérience extrême de l'humiliation" qu'elles décrivent, puis leurs "stratégies" pour vivre l'après. Des récits de solitude, jusqu'à cette année 2021, où elles découvrent être nombreuses à témoigner. Elles se rencontrent autour d'un dîner. "Pour la première fois, nous étions en sécurité".
A ses yeux, l'affaire PPDA ne peut se résumer à "un homme" : l'autrice questionne la responsabilité de TF1, et un "système criminel" entretenu par une culture du silence, teintée de complaisance ou d'indifférence…

Oui, il est des livres qu’on ne souhaiterait pas existants, mais qui le doivent pourtant pour combattre ces impunis, mais aussi et avant tout pour aider, donner le courage aux victimes de parler et dire : PLUS JAMAIS ÇA !

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Lapin et chien sont amis. Lapin vit dans un champ de blé bordé par une route qu’il n’a jamais empruntée, même si chaque nuit il en rêve. Chien était un aventurier, avec sa moto il avait passé l’essentiel de sa vie à parcourir les routes du pays. Maintenant il est trop vieux et trop malade pour partir. Alors il rend visite à Lapin et lui raconte ses voyages chaque jour.

Puis un jour Chien n’est plus là. Lapin reste seul avec la moto…

 

Kate Hoefler écrit une tendre histoire sur l’amitié, le temps qui passe, l’absence, la mort sans que jamais le mot ne soit nommé. C’est aussi une réflexion sur le désir de tenter l’inconnu et la peur qui nous en empêche. Sarah Jacoby propose de belles illustrations aux teintes pastel qui traduisent bien les émotions de Lapin. Les doubles pages en aquarelles format panoramique évoquent parfaitement le voyage et le sentiment de liberté. Chien disait : « le monde est beau si tu as le courage d’aller voir. Parfois tu peux te sentir dans de nouveaux endroits comme avec de vieux amis ».

 

Un album touchant et émouvant

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Tome
1
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Tout commence à la façon de 24 heures chrono : il y a 29 minutes, Yorick discutait tranquillement au téléphone avec Beth, sa petite amie partie étudier en Australie. Il y a 24 minutes, la mère du même Yorick échangeait vivement avec un collègue sénateur. Leurs conversations vont être subitement interrompues et reportées sine die. Car à la minute M, un fléau d'origine inconnue frappe tous les porteurs du chromosome Y. Tous les mâles sont rayés de la surface du globe en une fraction de seconde : la Terre vient de perdre 48% de sa population. Les hommes occupant souvent les postes à responsabilité, les gouvernements en exercice sont décimés, les entreprises désorganisées. C'est la panique, la guerre civile menace partout. A plus long terme, la race humaine semble menacée d'extinction. Par miracle, Yorick et son singe mâle Esperluette ont survécu à ce désastre planétaire. Devenu une espèce rarissime et convoitée, Yorick reçoit la protection de l'agent 355 du Culper Ring, une organisation ultra secrète. Tous deux recevront l'aide du docteur Mann, spécialisée en clonage. L'avenir de l'Homme repose sur leurs épaules. Une bande dessinée qui mêle habilement science-fiction, apprentissage et suspense. Les rebondissements s'enchaînent sans lasser et interrogent sur notre société actuelle, les progrès de la science et même les conflits géopolitiques. Les personnages sont bien étudiés et attachants. Une touche d'humour teinte les dialogues. Bref, une réussite.  - Michaël



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Lamya Essemlali nous entraîne dans l'épopée de la « Sea Shepherd », une organisation qui ne recule devant aucun sacrifice pour défendre les océans et de la biodiversité.

À travers ce récit, c'est le portrait d'un homme hors du commun, Paul Watson, qui se dessine : un capitaine courageux, un visionnaire passionné, mais aussi un rebelle qui bouscule les consciences.

Un livre indispensable pour comprendre les enjeux de la préservation des océans et pour s'inspirer de ceux qui luttent pour un monde meilleur.

L'arrestation injustifiée de Paul Watson au Groenland témoigne de la violence des enjeux et de cette hypocrisie qui règne dans nos gouvernements.

Ce livre est un cri d'alarme qui nous rappelle que la lutte pour la préservation de notre planète est loin d'être terminée.

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et si on en parlait en BD

 

Le droit à la fin de vie

 

Depuis de nombreuses années déjà, les débats autour du droit à l'euthanasie et au suicide assisté sont présents dans notre société, mais ces pratiques restent illégales en France.

 

La loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi « Léonetti ») affirme, sous certaines conditions, un droit au « laisser mourir » sans souffrance évitable et dans le respect de la dignité du patient. Cependant, pour beaucoup, cela ne suffit pas et iels souhaitent une nouvelle loi légalisant 'l'aide active à mourir'. Le débat reste donc ouvert...
Nous vous proposons de découvrir trois bandes dessinées ayant pour sujet le droit à la fin de vie choisie. Elles donnent matière à penser par leurs récits fictifs ou inspirés de faits réels, à comprendre ce sujet de grande importance. Des récits tendres, émouvants, et paradoxalement emplis d'espoir comme jamais.

 

En toute conscience
de Livio Bernado et Olivier Peyon
éd. Delcourt

 

La dame blanche
De Quentin Zuttion
éd. Le Lombard

 

Mes mauvaises filles
De Zelba
éd. Futuropolis