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Spin off de la série pour adultes « Les vieux fourneaux », « Le loup en slip » s’adresse aux plus jeunes par le biais d’un conte sur la différence. Véritable message de tolérance, le récit s’articule autour de la croyance populaire de la peur du loup… Mais qui est-il vraiment ? Qui l’a déjà rencontré ? Qui lui a seulement déjà adressé la parole ? Est-il celui que l’on prétend ? Cette trame, qui peut paraître sommaire, ne l’est pourtant pas. C’est avec tact et humour que M. Lupano dresse avec brio une image de notre société et ainsi un message pour nos jeunes générations : la tolérance.
« Le loup en slip » est un court récit, mais qui par son propos, perdure dans les esprits. Une réussite.  - Michaël
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Gioia a 17 ans. Elle n’est pas comme les autres. Dans sa bulle elle discute avec Tonia, une amie imaginaire. Elle écoute en boucle les Pink Floyd, collectionne dans un carnet les mots étrangers intraduisibles et se passionne pour la photographie en ne prenant que des gens de dos. Au lycée on la surnomme miss rabat-joie. Elle vit dans un contexte familial difficile. Un jour, elle fait par hasard la connaissance d’un jeune homme : Lo. Comme elle, il est solitaire, collectionne des cailloux dans un bocal, joue aux fléchettes seul le soir dans un bar. Avec lui Gioia va découvrir des émotions jusqu’ici jamais ressenties. Mais voilà, celui-ci disparait sans laisser de traces. La jeune fille est alors prise de doutes. Aurait-elle imaginé cette relation ? Serait-elle folle comme le pense ses parents ou la psy ? Gioia est déterminée à retrouver son amour perdu et à mettre au clair les zones d’ombres qui planent autour de cette histoire. Notre héroïne sera aidée par quelques complices : son professeur de philosophie et confident, une gérante de bar et un vieux monsieur.
Dans ce premier roman, Enrico Galiano traduit très bien le mal-être de l’adolescente, ses interrogations, ses doutes et ses espoirs.
En plongeant dans le monde de Gioia on perd souvent le sens de la réalité et de l’imaginaire tant la frontière entre les deux y est infime. 
Les ados se retrouveront dans ce thriller psychologique, écrit avec fluidité et humour. Les personnages sont très attachants, mystérieux et sont confrontés à des réalités aussi brutales que quotidiennes. Une sensibilisation à la violence, l’alcoolisme, le harcèlement…On retiendra également un message de tolérance et d’ouverture d’esprit.
J’ai lu ce livre rapidement, prise dans le fil des événements et l’envie page après page d’en connaître le dénouement.

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Goliath n’est pas comme les autres enfants, il est grand, très grand, voir très très grand et cela le peine. Il est différent…

Ximo Abadía, auteur espagnol dont j’admire l’œuvre propose avec cet album un récit touchant empli de sagesse et de beaucoup de tendresse. Il évoque le thème de la différence, du mal être et de comment trouver sa place dans la société. Loin d’être triste, le récit se transforme en quête initiatique dont chaque scène est une impressionnante rencontre. En cela son travail graphique est remarquable, il juxtapose les formes, les matières pour rendre des tableaux d’une extrême efficacité. Très peu de couleurs sont utilisées, les mêmes page après page, savamment dosées et distillées afin d’offrir différentes ambiances, différentes émotions à l’histoire.

Goliath est un géant et heureusement pour nous, son amour aussi alors, il serait dommage de s’en priver !

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Eté 1913, Valdas a 15 ans, dans une riche demeure du bord de mer, sa vie se dessine. Le monde des adultes, auquel il n’appartient pas tout à fait, lui paraît être un vaste théâtre où tout n’est que faux-semblants, alors la nuit il s’enfuit renifler la côte, ses embruns, un parfum de liberté. Il y vit ses premiers émois et se confronte au monde extérieur, plus pauvre, plus dépouillé loin du confort de sa classe bourgeoise vaguement contestataire.
De retour à St Pétersbourg la vie s’emballe, une promesse de fiançailles, l’armée, la guerre, la révolution, le choix du mauvais camp, puis l’exil, Paris, la misère, une autre guerre et la solitude. Un siècle de barbarie dont il est le témoin, et au milieu de cet océan de cruauté, un écrin de beauté, une île où affleure l’amour. Une parenthèse de vingt jours d’un bonheur intense qui lui permettront toute sa vie de résister.

Voilà ce que raconte merveilleusement ce livre, comment un amour même éphémère peut être éternel. Comment dans un monde sauvage et violent, il vous donne la force d’être juste et bon, de rester humain.
Encore, un magnifique roman, tout en pudeur, d’Andreï Makine, dont la langue, si belle, si douce à l’oreille est un enchantement.

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Capitaine Fripouille, la nouvelle idole des jeunes ? Qui sait ? Peut-être ? Voici en tout cas un personnage tonitruant à forte humeur bien déjantée dont on devine un passé aventureux. L’épaisseur scénaristique du héros donne tout le charme à l’album, des scènes au vitriol, de la réflexion et un final en apothéose, de quoi ravir petit et grands… Au dessin nous retrouvons Alfred qui pour les besoins du récit a rendu son trait plus nerveux, plus sec et a multiplié les cases pour dynamiser le récit. Olivier Ka et Alfred un duo à (re)découvrir…  - Michaël

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L'action se déroule dans le Transsibérien. Des conscrits sont emmenés en Sibérie mais ne savent pas où exactement. L'un d'eux, Aliocha cherche à déserter, il tente de fuir et se cache. Deux personnages embarqués dans une histoire où la question de la confiance est sans cesse en jeu. A chaque arrêt dans une nouvelle gare, la tension monte. Fort suspens de cette traque dans l'environnement clos du Transsibérien. C'est aussi le rythme de ce train mythique traversant les paysages de steppe, puis de taïga.

Un style qui va à l'essentiel à la fois poétique et brutal. Une très belle écriture. Ce petit livre court mais vraiment intense est un vrai bijou de lecture !

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Fraîchement arrivée de Russie, Véra a bien du mal à se faire des amies et à s’intégrer dans la communauté américaine. Pas assez cool, pas assez riche, trop différente... en un mot (deux en fait) : trop russe. L’église orthodoxe devient son refuge, moins par attrait pour la religion que pour le buffet servi en fin de cérémonie. Lorsqu’elle apprend que l’église organise un camp de vacances, Véra y voit l’occasion rêvée de se faire facilement des ami(e)s, russes comme elle. Sa maman l’envoie donc avec son petit frère passer deux semaines en colonie de vacances... De douces illustrations en bichromie, des touches d’humour, de l’amitié, des premières amours, un brin de méchanceté, mais aussi de la solidarité... Bref, un bien joli récit initiatique que l’on devine nourri de la propre expérience de l’autrice. Une bande dessinée à lire dès 8 ans, abrité sous la tente, pelotonné sous la couverture avec sa lampe torche, et surtout pendant les vacances !  - Michaël

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Quelque part en Afrique, dans un petit village, un enfant est enlevé par un démon : un Yéban. L’enfant doit l’aider à retrouver son chemin jusqu’à son chez lui : les enfers. Cependant ce voyage ne se fera pas sans difficultés ni sacrifices… Le pauvre Kana l’apprendra à ses dépens…

Aurélien Ducoudray nous propose un récit inspiré de différentes légendes et traditions africaines. Ce subtil mélange est aussi surprenant que captivant. Nous suivons ce voyage, cette quête initiatique, sans ennui, tout en développant une certaine affection pour ce duo improbable. Nous effleurons certes la culture africaine, mais c’est déjà un premier pas vers des recherches plus approfondies sur les mythes racontés. Au-delà de cet aspect mystique, « Le repas des hyènes » est également un récit de type « quête initiatique » et chacun·e en tirera - ou pas - sa propre relecture. 

Les illustrations de Mélanie Allag portent parfaitement ce conte. Par ses planches, tantôt sombres, tantôt colorées, elle nous invite dans ce mystérieux continent à la richesse culturelle encore bien méconnue.

« Le repas des hyènes » est une plongée en terre inconnue, un voyage vers des contrées lointaines ouvrant sur des univers insoupçonnés, à découvrir ! 

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Elie Wiesel, prix Nobel de la paix en 1986, a dit : « Vous qui qualifiez les étrangers d’illégaux, vous devez comprendre qu’aucun être humain n’est « illégal ». C’est un contre sens. Les êtres humains peuvent être beaux, voire très beaux, ils peuvent être gros ou minces, ils peuvent avoir raison ou tort, mais « illégal », comment un être humain peut-il être « illégal » ? ». Ainsi commence le récit de Ebo, jeune Ghanéen de 12 ans, qui avec son frère décide de partir pour l’Europe, loin de la misère locale. Dans ce périple, la mort les menace à chaque étape. Du désert du Sahara à la violence des rue de Tripoli jusqu’à la traversée de la Méditerranée, ils devront surmonter leur peur, oublier leur innocence pour devenir, bien trop vite, des adultes sans rêves... Cette histoire est une fiction, mais chaque détail qui la compose est authentique car les auteurs ont collecté et assemblé les témoignages de rescapés pour nous livrer ce récit bouleversant. Véritable mise en lumière des conditions de vie inhumaines que subissent les migrants pendant leur exil, ce titre est à de nombreux égards une œuvre documentaire à mettre entre toutes les mains, même les plus réfractaires à la cause migratoire.  - Michaël

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Pulchérie, la trentaine passée, prend enfin conscience de son corps, de son être et surtout d’un organe si souvent tabou : le clitoris.

« L’affaire clitoris » est, comme le titre peut le sous-entendre, une bande dessinée de reportage. Nous allons, par une enquête minutieuse, partir à la découverte d’un organe féminin des plus importants et pourtant encore de nos jours très méconnu : le clitoris. Il est, selon la définition du Larousse, un « organe érectile de l'appareil génital féminin externe, principalement composé de deux bulbes bordant la vulve et d'un gland (ou clitoris au sens strict), situé au-dessus de l'orifice urétral. ». Très bien, mais encore… ? A quoi sert-il ? Comment est-il fait ? Et surtout, pourquoi depuis des siècles, il est invisibilisé dans nos sociétés patriarcales ? Tant de questions qui trouveront réponses dans cette excellente bande dessinée de vulgarisation. Science, philosophie, croyance sont autant de thèmes abordés par les autrices via cet organe de 10 cm qui n’est que depuis 2017 correctement représenté dans les manuels de SVT.

Ce titre est classé dans nos rayons adultes, mais il peut vraiment être conseillé à un plus jeune public tant sa valeur est éducative et pédagogique, libératrice d’un plein épanouissement personnel.

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1911. Augustin Lesage, mineur, fils et petit-fils de mineur, époux de fille de mineur, entend une voix : il sera artiste. Bien sûr cette idée provoque l’hilarité. Seul Ambroise y croit, et l’invite bientôt à une séance de spiritisme. Augustin entend à nouveau cette voix, qui lui intime de devenir peintre et le conseille dans ses choix de matériaux, conduisant même sa main sur la toile. Au bout d’une gestation longue d’une année, cette mystérieuse et minutieuse alchimie donne naissance à une toile virtuose de trois mètres sur trois. Le directeur de l’Institut Métapsychique International (IMI), le docteur Osty, décide de se pencher sur ce phénomène et rencontre celui qui n’est alors qu’un simple mineur. Avec l’aide de ces deux bienfaiteurs, Augustin poursuit sa voie et peint plus de 800 toiles.

Enferme-moi si tu peux débute avec cette biographie d’Augustin Lesage, l’une des figures les plus connues de l’Art Brut. Cet art est, selon Jean Dubuffet, l’œuvre de personnes dépourvues de toute formation et culture artistiques : l’art des fous et des marginaux… de ceux qui n’ont aucun droit. Pandolfo et Risjberg explorent celui-ci à travers six biographies (citons Madge Gill ou le Facteur Cheval) qu’ils relient entre elles de façon judicieuse et malicieuse, interpellant le lecteur sur la folie de ces créateurs mis au ban de la société parce que pauvres, femmes, infirmes, mal nés. On retrouve avec bonheur le couple d’auteurs de l’excellente BD Serena, qui une fois encore nous livre de beaux portraits intimistes, écrits à la première personne et sublimés par le dessin évanescent de Terkel Risjberg. Découvrir cette galerie d’artistes hors normes, c’est se rendre compte que la liberté, comme la création, provient avant tout d’un élan intérieur irréductible et salvateur, parfois issu du gouffre, mais toujours salvateur. Un album optimiste et d’une très qualité, graphique et narrative.  - Michaël

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Comté d'Essex, Ontario, Canada. Des hommes de tous âges se croisent sans se connaître. Chacun avec son histoire, ses joies, ses peines. Ils sont enfants, parents, retraités. Ils sont nés à des époques différentes. Ils ont tous un point commun : ils racontent un pan de l'histoire du comté d'Essex.  - Michaël


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Le même jour, à la même heure, sont nés 43 enfants aux pouvoirs extraordinaires. Le riche et excentrique Sir Reginald Hargreeves parvient à trouver et à adopter 7 de ces nourrissons. Son but : les former et les entraîner à devenir la meilleure équipe de super-héros de tous les temps. Malheureusement, parfois, les meilleures intentions du monde peuvent s’avérer plus néfastes que bienfaisantes... « Umbrella Academy » n’est pas à proprement parler une nouveauté puisque son premier numéro est sorti aux États-Unis en 2008, remportant la même année l’Eisner et le Harvey Award de la meilleure nouvelle série, prix très prestigieux décernés au neuvième art. Alors pourquoi vous en parler aujourd’hui ? Tout simplement parce que Netflix l’a adaptée en prises de vue réelles. Deux saisons pour le moment, et c’est une véritable tuerie (au propre comme au figuré !). Du coup, cette plate-forme de vidéo permet de (re)découvrir ce titre aux charmes et atouts indéniables. Proches dans l’esprit et la forme, possédant la même énergie débordante et communicative, les deux versions diffèrent à quelques détails près. Cet univers (pour l’ensemble) est empli de mystères, de rebondissements et nous entraîne à chaque fois sur des chemins improbables. Il y a certes de l’action, beaucoup d’action même, mais également une place importante pour la réflexion. Des thèmes sous-jacents tels, pour ne citer qu’eux, la famille, la filiation ou encore la construction de soi, transparaissent tout du long de la saga et des épisodes. Chaque personnage a son caractère, ses blessures que l’on découvre petit à petit, des histoires dans l’histoire. Ne choisissez pas telle ou telle version : les deux sont captivantes, proches mais assez différentes pour vous surprendre chacune d’elle. Et bien évidemment le comics est disponible dans votre Espace COOLturel !  - Michaël

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Lucien est, comme son modèle le célèbre aventurier de l’étrange Harry Price, passionné d’histoires étranges, remplies de monstres et autres revenants. Alors, lorsque lui et sa famille emménagent dans une nouvelle ville, sa première envie, bien avant de se faire des amis, est de trouver les phénomènes paranormaux que pourrait bien abriter cette petite bourgade... « Lucien et les mystérieux phénomènes » est une série jeunesse d’aventure pseudo-fantastique, mais qui traite avant tout d’environnement et d’écologie. Sans y paraître, elle permet à l’enfant de prendre conscience de la société de consommation, de la surproduction et des problèmes que cela entraîne. Bien sûr, c’est subtil car enrobé par une passionnante enquête paranormale. Notre jeune héros est accompagné de sa maligne petite soeur, ce qui permet à chaque enfant de s’identifier et se projeter dans le récit. Le thème de l’amitié est également bien présent dans l’album, cela est certes moins original, car assez courant en bande dessinée jeunesse. La réussite de ce titre vaut également par les illustrations d’Alexis Horellou, dont le trait fin et délicat, aidé par des couleurs aux tons orangés, crée une atmosphère étrange et mirifique. Notons également l’hommage rendu par les auteurs à Harry Potter, mais surtout à Vincent Price, célèbre acteur américain de film d’horreur qui a inspiré Tim Burton et dont vous avez déjà certainement au moins une fois entendu la voix grave, celle du clip Thriller de Michael Jackson. Un premier album convaincant et maintenant la suite, vite...  - Michaël

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La question devait bien tomber un jour ou l’autre... Mais que répondre à son enfant lorsque celui-ci vous demande : comment on fait les bébés ? Lui raconter une belle histoire ou lui dire la vérité, c’est un vrai casse-tête pour tous les parents, sauf bien sûr, si la grande sœur a déjà la réponse… Isabelle Jameson, dans un album à l’humour très présent, soulève une problématique que tous les parents connaissent un jour ou l’autre : aux questions d’enfants, doit-on toujours répondre et dire la vérité ? Vous ne trouverez pas de réponse toute faite dans cette histoire, cela est propre à chacun, mais serez certainement reconnaissants à l’autrice de mettre en mots vos doutes et vos interrogations. Elle, avec très peu de mots, pose clairement la situation et se moque un peu de nous (d’elle-même sûrement) dans ces craintes qui peuvent nous habiter. Ce qu’il y a de fort dans ce récit, c’est le balayage assez large de tous les possibles, qu’ils soient fantasques ou bien réels et le tout raconté avec fluidité. Nous sourions beaucoup devant ces parents affolés et nous crions au génie lorsqu’à la lecture des dernières pages, l’histoire prend une toute autre tournure… Cet album est illustré par la talentueuse Maud Legrand, qui avec un trait noir rare et épuré, parvient à faire passer différentes émotions : surprise, affolement, étonnement… Elle utilise un seul angle de vue, fixe, horizontal et nous plonge ainsi directement dans l’action, proche de nos héros comme si on était avec eux, chez eux. La mise en couleur est sobre : quelques touches de peinture posées délicatement à des endroits bien précis afin de donner du rayonnement et du relief à l’ensemble. Voici un très bel album, au sujet délicat, mais sans gravité, dont la légèreté ravira petits et grands.  - Michaël

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Le soleil se lève sur la savane, petit singe se réveille et il a faim. Hélas en descendant de son arbre il ne trouve plus qu’une peau de banane. Mais qui a bien pu manger les autres ? Notre petit héros se met en route pour trouver la/le coupable auprès des habitant·es de la savane.

Voici un album drôle et coloré, où l’enfant suit un sympathique personnage dans sa quête de nourriture et découvre ainsi les différents animaux. L’histoire capte l’attention jusqu’au bout du livre car rien ne laisse pressentir la fin de l’histoire.

De la même autrice, Juliette Parachini-Deny, vous aimerez aussi « Pablo veut changer de peau ».

C’est bon moment de lecture et de détente à partager.