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Vous rappelez-vous d’Humpty Dumpty, l’œuf perché en haut d’un mur dans « Alice au pays des merveilles » de Lewis Carroll ? Eh bien figurez-vous qu’il vient de tomber du mur ! Cet accident n’est pas très grave, mais il va radicalement changer sa vie… A partir de cet étrange postulat de départ, Dan Santat s’empare d’un personnage bien étrange et énigmatique qui est apparu dans une comptine du 16e siècle et immortalisé bien plus tard par Lewis Carrol : Humpty Dumpty. Dans cette version, le côté étrange du personnage a disparu, il est devenu un doux rêveur que son accident va mettre en difficulté, en détresse. Le doute, la peur sont dorénavant son quotidien, il devra faire un temps avec, puis les affronter pour enfin renaître. Ce récit sur la fragilité de l’être est magnifique, certes par moment triste, mais tellement porteur d’espoir qu'il en est en une véritable leçon de vie. Après un accident ou un échec, il est normal de douter, d’ailleurs par moment, ne faut-il pas se perdre pour se retrouver ? Le final est tout simplement magistral, tellement beau que l’émotion submerge n’importe quel·le lecteur·rice. Le récit est magnifié par le travail scénique et pictural de l’artiste, plongée, contre plongée, gros plans, plans d’ensembles, un véritable travail cinématographique qui donne du rythme et de la dramaturgie à l’ensemble. « Après la chute » est un album incontournable, résolument positif, à mettre entre toute les mains…  - Michaël

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Sam n’a pas de travail, c’est un artiste, un peu rêveur, un peu glandeur aussi... Pour l’aider à reprendre sa vie en main, sa mère lui trouve un poste de commercial auprès d’un cousin éloigné. Il fera désormais équipe avec cet étrange Keith Nutt, qui a placé le travail au cœur de sa vie. Une bien étrange relation va naître, pleine de partages et d’incompréhensions... Petit bijou de sensibilité, « Courtes distances » est une œuvre remarquable autant par son fond que par sa forme. Par sa forme car, l’objet livre est d’un format inhabituel, un grand carré jaune, avec de belles illustrations aux allures de crayonnés. Par son fond, par les propos qu’elle véhicule. Véritable satire sociale sur l’opposition transgénérationnelle, elle nous immerge dans le quotidien de personnalités que tout oppose, mais qui ont ce point commun d’être en marge de la société du fait d’un manque : celui d’un père, d’un fils, d’une cellule familiale structurante. L’opposition des protagonistes n’est pas manichéenne, chacun des deux hommes tentant d’intégrer l’autre à son univers, sans jamais vraiment y parvenir. Une œuvre fine et forte sur la différence, à lire et à faire lire à tous.  - Michaël

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Bienvenue dans les coulisses impitoyables de la mode et de l’influence. À travers cet univers sans cesse en évolution, nous suivons les parcours entrecroisés de trois femmes : Blanche, directrice de l’iconique magazine Attitude, cependant en perte de vitesse ; Myrtille, jeune styliste de talent, résolument convaincue que les réseaux sociaux sont l’avenir du secteur ; Anne, mère au foyer passionnée de couture, exposant ses créations sur un site internet. La vie de cette dernière va être bouleversée le jour où une star apparaît en public avec une de ses combi-shorts.

Adèle Bréau explore ici un milieu qu’elle connaît parfaitement et nous livre un roman choral captivant. Derrière les paillettes, on découvre les difficultés auxquelles sont confrontés les protagonistes : concilier vie publique et privée, gérer l’image, le regard des autres, le pouvoir…

Même si cet univers peut sembler superficiel, on s’attache profondément aux personnalités de ces héroïnes. Le roman aborde avec finesse les relations intergénérationnelles, l’estime de soi, la sororité et, bien sûr, l’amour.

Une lecture agréable, moderne et humaine, qui interroge notre époque tout en offrant un moment d’évasion.

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Comme il est devenu coutume dans le futur, 9 lycéen.es ont été.es sélectionné.es pour un voyage scolaire dans l’espace. Elles et ils seront déposé.es et livré.es à eux-mêmes même durant 5 jours sur la planète McPA, où nos héros ne courent aucun danger. Le but de ce voyage est de créer du lien et pourquoi pas prendre goût à l’exploration spatiale. Malheureusement, alors que tout semble aller pour le mieux, nos jeunes explorateur.trices sont, par une sphère mystérieuse, téléporté.es accidentellement en plein espace... « Astra » est un récit de science-fiction au caractère bien trempé. 9 personnages, 9 personnalités à découvrir au fil de la série. Nos protagonistes, malgré leur jeune âge, ont une histoire, une blessure qu’elles et qu’ils traînent et en font des caractères uniques. Parfois pour le bien de tous.tes, mais parfois pour le malheur de l’équipe. On parle bien ici du vivre ensemble, d’accepter les compromis et d’en retirer le positif. Comme souvent dans les œuvres japonaises pour préados et ados, la tolérance, le courage sont mis en avant. Ce titre ne déroge pas à la règle. Le rythme est soutenu et à aucun moment nous ne nous ennuyons. La richesse des personnages permet à la fois des moments de tensions, d’émotions, mais aussi d’humour. Le suspense est également une source importante de la qualité de ce titre. L’illustration, de facture classique, est sans fouillis, très lisible. Les visages expressifs, mais cela n’est pas une surprise, car n’est-ce pas habituel dans les mangas ? Pour certain.es, ce titre rappellera certainement les séries TV « Perdus dans l’espace » ; je ne sais pas si Kenta Shinohara s’en est inspiré, mais en tout cas, « Astra » en est un bel hommage.  - Michaël

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Dans la vie, Monsieur Grumpf aspire à une seule chose : sa tranquillité. Alors, lorsqu’il désire simplement balayer l’amoncellement de feuilles qui s’accumule devant chez lui et que, toutes les cinq minutes ses voisins viennent le déranger : l’agacement se fait sentir... Voici une petite bande dessinée très agréable à lire, une véritable promenade automnale. Ce titre est destiné aux plus jeunes à partir de 5 ans. Bien sûr, l’enfant devra être accompagné dans sa découverte de l’album. En effet, même si ce titre a été conçu sans texte, quelques dialogues animent tout de même l’ensemble. L’enfant y découvrira les valeurs de l’amitié, de l’entraide et de la générosité. De façon ludique, il abordera aussi le thème des saisons. Pour ce premier tome d’une série de quatre, l’automne est la trame de fond. Avec subtilité et tendresse, Dav évoque les changements qui s’opèrent dans la nature : hibernation, chute des feuilles... Le tout distillé dans une histoire touchante, dont le héros grognon a peut-être un plus gros cœur qu’on ne le croit. L’auteur peaufine l’œuvre par des illustrations animalières efficaces, au trait sûr et expressif teinté d’un bel orange de saison.  - Michaël

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"Bergères guerrières" : à la lecture de ce titre, on pourrait s'attendre à une bonne comédie franchouillarde avec des gags à n'en plus finir. Il n'en est rien. Bergères guerrières est un titre jeunesse pour ceux qui aiment l'aventure, les sagas fantastico-médiéviales. Quant à ceux qui n'aiment pas cela : vous allez adorer quand même ! Jonathan Garnier et Amélie Fléchais nous ont concocté une oeuvre palpitante avec de l'action, des sentiments, du mystère et tout de même une bonne dose d'humour. Nous suivons les aventures de ces bergères avec passion et on ne referme ce livre qu'avec regret et une envie de faire disparaître à jamais ces quelques mots "à suivre"...  - Michaël

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Ce sont des enfants, pour la plupart orphelins, mais tous sans le sou et dans la misère. Ils vont trouver en leur compagnon Colas, un espoir, un guide vers une vie meilleure. Ce nouvel horizon ne pourra cependant se faire sans sacrifices, car en l’année 1212, la foi est omniprésente et la seule « façon » d’atteindre le paradis est de partir en croisade défendre le tombeau du Christ. Ces enfants vont suivre un guide, mais peut-être pas celui qu’ils croyaient...
Inspiré de faits réels, ce fait divers dont très peu d’écrits subsistent, nous est conté par Chloé Cruchaudet et constitue un pan méconnu de l’histoire de France. Si la fin de cette croisade fait encore débat parmi les historiens, l’auteure s’en approprie une version et nous livre un récit épique à la dramaturgie parfaite. L’innocence et la naïveté des enfants sont un élément central de la trame et constituent le fil conducteur du récit. Un rejet du monde adulte, par qui tous les maux arrivent, est une des réflexions de l’œuvre. L’enfant serait-il supérieur à l’adulte du fait de son innocence ? Par delà cette question philosophique, la manipulation des masses du fait de l’ignorance et de l’inculture est également un sujet abordé qui fait écho encore aujourd’hui dans notre société. L’arc narratif est quant à lui savamment écrit, les personnages attachants nous font vivre différentes émotions : on s’attriste, on s’amuse et on s’inquiète. Le tout est parfaitement illustré par un trait fin et précis dont les volumes sont rehaussés d’une palette à l’ambiance « clair obscur » grâce à l’utilisation d’encres et de fusains. 172 magnifiques planches à découvrir dans un récit de haute tenue.  - Michaël

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"Mourir (ça n'existe pas)" est un titre particulier, à l'atmosphère étrange, mais qui prend aux tripes et tout son sens à chaque page lue.

En abordant les thèmes de la mort, du suicide, de la souffrance, de la folie et du traumatisme, l'auteure Théa Rojzman s’attaque à des sujets difficiles, voire casse-gueule. De plus, son style graphique peut, pour des lecteurs "traditionnels", être répulsif.
L'erreur serait donc de passer à côté de cet album, qui à mon goût fait partie des BEST 2015, tant par l'efficacité de sa narration qui nous entraîne dans les tréfonds de l'âme humaine, que par les magnifiques peintures qui nous sont offertes (voir page 56). Théa Rojzman réussit l’exploit de nous faire vivre, de nous faire comprendre au travers de la vie de Yann, la naissance, le cheminement des angoisses de l'âge adulte. Elle parvient en quelques pages à nous rendre peine, mais aussi espoir.
Un titre fort à lire absolument !  - Michaël


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Beaucoup de tensions sur l’île où vit Léni. Sa femme l’a quitté, emmenant leur fille avec elle, l'entreprise où il travaille bat de l'aile et... un pont va relier l'île au continent. Cette nouvelle scinde la population en deux, les pro et les anti pont. L'auteur dresse un portrait de ces hommes de la mer dont le métier devient précaire et qui aiment se retrouver après le travail au bar du village, au son de l’accordéon. Le pont, on ne parle que de ça ! Ce « monstre » divise, attise les colères, fait craindre le changement, la fin du ferry, les invasions de touristes sur leurs terres préservées. Léni ne s'implique pas, il a aussi d'autres tourments. Heureusement il y a la mer, qui console, qui lui donne un sentiment de liberté !
L’atmosphère marine est prégnante. La construction du pont, en cinq phases structure le récit, en est le fil conducteur. Au fur et à mesure de l’avancée des travaux, les tensions montent avec en toile de fond, la symbolique du pont entre deux rives, qui, en amour comme en amitié, peut apporter le bon comme le mauvais.
Un roman plaisant, aux nombreux dialogues. A sa lecture, on ne peut s'empêcher de penser à ce qu'on dû vivre les insulaires de l’île de Ré en pareille situation !
Les scènes où les habitants se retrouvent dans ce café chaleureux m'ont rappelé Les déferlantes de Claudie Gallay. Catherine

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Au 18e siècle, un homme déambule dans la ville qui ne s’appelle pas encore Tokyo, mais Edo, afin d’en faire la cartographie. A pas mesurés, il arpente les rues et se laisse émerveiller par les splendeurs de la nature, adoptant tour à tour le regard de la tortue, de l’oiseau ou du chat. Se laisse aussi séduire par la mélodie des haikus d’Issa, citant Bashô ou créant ses propres vers. On pense évidemment à L’Homme qui marche ou au Gourmet solitaire en lisant Furari. On y retrouve les mêmes errances contemplatives du héros, les mêmes plaisirs, la même trame. Pas de surprise dans cette lecture. Pour autant, en ces temps si particuliers, si anxiogènes, c’est un vrai plaisir de retrouver Jiro Taniguchi, de se balader tranquillement, sereinement et de s’extasier avec lui devant o-hanami, les cerisiers en fleur. Du grand air, de la douceur, de la poésie, de la liberté… une lecture apaisante qui fait l’effet d’une grande bouffée d’air frais printanier. Et ça fait du bien, tout simplement.  - Aurélie

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"Blonde à forte poitrine", un titre ô combien énigmatique, qui, pour nous, "sexe fort", attire inexorablement. Pourtant à la lecture de ce livre, alors que nous pensions nous réjouir, nous devenons les témoins malheureux d'une vie brisée. L'histoire vraie d'Anna Nicole Smith, célèbre playmate américaine qui, afin d'offrir une vie décente à son fils a fait des choix discutables. Ce livre biographique, nous dévoile les coulisses d'un univers impitoyable, celui de la femme objet. De ces femmes justement, qui  n'ont que pour seule arme, leur physique. Désirés par tant et décriés par d'autres, elles ne demandent rien d'autre, juste de l'espoir. Mais plus fort que l'être, le système... 

Un titre fort qui fait réfléchir.  - Michaël


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Autant vous le dire de suite, ce titre est extrêmement dur par son intensité émotionnelle. Le Perroquet est une autofiction poignante qui traite des troubles de la bipolarité à tendance schizophrène. Espé livre un récit aussi personnel qu’universel, celui d’un enfant perdu dans une réalité où l’imaginaire est le seul refuge ; dans son regard, on ne lit qu’incompréhension et douleur face à la maladie de sa mère. Page après page, nous sommes les témoins impuissants de scènes insupportables qu’on ne peux, après avoir refermé l’album, se sortir de la tête. Parfois la réalité est bien plus cruelle que la fiction et il faut énormément de courage pour écrire, nous livrer un pan de ce passé si monstrueux, mais c’est également une formidable once d’espoir pour, à défaut d’oublier, savoir continuer à vivre. Merci M. Espé.  - Michaël

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Il y a le souvenir d’enfant, le burger, les frites et le jouet, le rêve américain en quelques sortes. Puis dix ans plus tard, l’envers du décor, un premier boulot, le monde des adultes, l’aliénation par le travail. De l’entretien de recrutement jusqu’à son dernier jour, l’autrice décrit méticuleusement son emploi dans un fast-food. Elle dissèque l’organisation du travail, les rapports de force et peu à peu le glissement dans le système, lutter pour la meilleure place, accepter les frustrations, les petites brimades, les conditions exécrables et l’oubli du corps, corps qui rapidement s’efface au détriment de la machine, de ses cadences…

En parallèle, avec la même minutie, Claire Baglin dépeint son enfance, se souvient des petits détails du quotidien qui forment un grand tout. Une existence heureuse, dans un milieu modeste et en filigrane la vie du père, un ouvrier spécialisé. La même pénibilité du travail, le même manque de moyens avec lequel il faut composer, les mêmes dangers, mais malgré tout le sentiment d’appartenir à quelque chose et une certaine fierté de son travail. L’héroïne, elle, n’appartient à rien : c’est un simple rouage dans la grosse machine à hamburgers. Dépossédée d’elle-même, pourrions-nous croire, si tout au long du récit elle ne gardait pas ce formidable recul, ce regard critique qui la rend profondément humaine.

Par ces incessants retours à l’enfance du personnage, au-delà de la dégradation d’une génération à l’autre des conditions de travail des plus défavorisés, ce que nous raconte l’autrice, c’est comment se forge une personnalité. Qu’est-ce qui fait que face à l’avilissement, à la violence d’un monde professionnel déshumanisant, on puisse garder son libre arbitre, on puisse rester vivant ?

Dans ce magnifique roman, épuré et pudique, Claire Baglin réussi à exprimer par une description finement ciselée du quotidien et de ses gestes, des émotions d’une grande profondeur.

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Stupor Mundi est un récit qui se déroule en plein treizième siècle, sous le règne de Frédéric II, dit  Stupor Mundi (la « Stupeur du monde ») qui régna sur le Saint-Empire de 1220 à 1250 et fut roi de Germanie, de Sicile et de Jérusalem. Ce monarque connut des conflits permanents avec la papauté et se vit excommunié par deux fois. Le pape Grégoire IX l'appelait même « l'Antéchrist » ! Il accueillait les savants du monde entier à sa cour, portait un grand intérêt aux mathématiques et aux beaux-arts, se livrait à des expériences scientifiques (parfois malheureusement sur des êtres vivants). De par ses bonnes relations avec le monde musulman, il mena à bien la sixième croisade — la seule pacifique — et fut le second à reconquérir les lieux saints de la chrétienté, après Godefroy de Bouillon. 
En mélangeant fiction et réalité, Néjib livre une œuvre palpitante qui nous pousse à une certaine réflexion sur la société et la place qui occupent les sciences face à la religion. Car si dans un premier temps, le sujet principal est bel et bien la science, très vite apparait un thème encore et toujours d’actualité : l’obscurantisme religieux.  - Michaël

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Après le remarqué « Jane,
le renard et moi », voici le second tire du duo québécois
Britt/Arsenault et une fois encore, nous ne sommes pas déçus. Les
illustrations sont à tomber par terre, avec un style empreint de
sensibilité et de finesse qui accroche autant le regard des jeunes
lecteurs que des adultes. Isabelle Arsenault mixte les techniques :
aquarelle, crayon de bois, pastel frotté, fusain, encre de Chine,
gouache, collage, couleurs ajoutées à l’ordinateur, ce qui ajoute
texture, profondeur ou contraste à ses illustrations. Le texte De Fanny
Britt n’est pas en reste car même si le sujet n’est pas gai
(l’alcoolisme), il nous emmène tour à tour dans l’euphorie, l’angoisse
et au final, peut-être, l’espoir. Drame quotidien, famille bouleversée,
notre duo réalise un album sociétal d’une grande justesse, sans pathos
ni mièvrerie. En s’adressant aux enfants ainsi qu’adultes, elles
réalisent un vrai tour de force. Bravo !  - Michaël

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Vous cherchez un jeu original à jouer en couple, entre amis ou en famille ?

"It Takes Two" a reçu le Game Award du meilleur jeu de l’année 2021.

May et Cody sont un couple, mais un couple qui se brise de plus en plus. Leur divorce se rapproche à grand pas, et leur fille, Rose tente d’arranger la situation. Dans son imaginaire, elle va créer le Docteur Hakim, un livre proposant une thérapie de couple à May et Cody qui se retrouvent… transformés en petites poupées. A travers toutes les pièces de la maison familiale, May et Cody vont devoir coopérer et retrouver ce pourquoi ils étaient faits pour être ensemble
Chaque chapitre est unique et nous plonge dans un univers différent, riche en détails insolites et petites activités.

"It Takes Two" tente de nous parler d’amour au quotidien et de comment l’étincelle doit être préservée tout au long d’une vie pour que tout se passe aussi bien que possible.
Le discours de fond de ce jeu est profond, mais l’ambiance y est légère et drôle.

Ce jeu est empruntable à l’Espace COOLturel, pour des heures de découvertes et d’amusement en perspective !