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Racisme

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1832, aux alentours de Boston. Prudence Crandall dirige une école pour filles et jouit de ce fait de la considération de tous ses concitoyen•nes dans un état, le Connecticut, où l’esclavage a été aboli. Pourtant lorsque Sarah, la première élève noire, fait son entrée en classe, un vent d’hostilité soulève la petite ville. Car être libre ne veut pas dire être citoyen•ne, encore moins pouvoir bénéficier d’une éducation... Prudence, qui porte assez mal son prénom, porte l’affaire en justice et persévère auk risque de se retrouver mise au ban du village. Lupano et Fert livrent une bande dessinée résolument féministe, basée sur un fait historique assez bref (l’école dura deux ans), mais fondateur pour la communauté abolitionniste. C’est d’ailleurs le propos du cahier final qui croque les vies de quelques-unes des élèves de Prudence et révèle l’incroyable héritage de cette pionnière pédagogue. Au-delà de cette découverte historique très plaisante, cette BD est aussi un récit alerte mené par une narration virevoltante et basé sur personnages bien campés quelque soit leur camp. Certains passages et personnalités satellites permettent d’enrichir le propos de références modernes qui parleront à bien des lecteur•rices (les sorcières et autres insoumis•es ne sont pas bien loin...). Quant au graphisme, Stéphane Fert a encore fait des merveilles, jouant de la couleur et de la mise en case avec brio. Blanc autour : gros cœur dessus !   - Aurélie

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Que dire de plus après un titre qui résume à lui seul le contenu de cette œuvre ? Peut-être, excusez du peu, évoquer le remarquable travail de l’auteur qui réussit simplement, mais avec beaucoup d’humour, à parler du racisme au sens large du terme. Il présente l’humanité et ses rapports conflictuels qu’elle a toujours entretenu avec cet·te « autre », qui n’est pourtant qu’elle-même !? Le racisme, la xénophobie ou encore les stéréotypes, les préjugés et autres discriminations sont autant de thèmes abordés dans ce livre, vulgarisés et combattus comme il se doit. Cette bande dessinée n’est pas que pour les enfants, elle est destinée à tous et toutes, tant son fond fait écho à la vie de tous les jours et va à l’encontre de cette immonde bêtise qui inonde le champs politique et certains médias.

Ce titre est à découvrir dans votre Espace COOLturel, au rayon BD « tout public » et on vous la conseille chaleureusement !  - Michaël

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Que dire de plus après un titre qui résume à lui seul le contenu de cette œuvre ? Peut-être, excusez du peu, évoquer le remarquable travail de l’auteur qui réussit simplement, mais avec beaucoup d’humour, à parler du racisme au sens large du terme. Il présente l’humanité et ses rapports conflictuels qu’elle a toujours entretenu avec cet·te « autre », qui n’est pourtant qu’elle-même !? Le racisme, la xénophobie ou encore les stéréotypes, les préjugés et autres discriminations sont autant de thèmes abordés dans ce livre, vulgarisés et combattus comme il se doit. Cette bande dessinée n’est pas que pour les enfants, elle est destinée à tous et toutes, tant son fond fait écho à la vie de tous les jours et va à l’encontre de cette immonde bêtise qui inonde le champs politique et certains médias.

Ce titre est à découvrir dans votre Espace COOLturel, au rayon BD « tout public » et on vous la conseille chaleureusement !  - Michaël

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1916, Elisabeth Freeman est une suffragette, elle milite pour le droit de vote des femmes états-uniennes. Lorsque le sociologue William Du Bois lui propose de profiter de son voyage à Waco pour enquêter en toute discrétion sur ce qui est arrivé au jeune Jesse Washington disparu après son interpellation par le shérif, Elisabeth n’hésite pas un instant… Son combat pour l’égalité et la liberté est universel !

 

Une nouvelle page d’histoire nous est proposée par l’excellente collection documentaire « Karma » de chez Glénat. Bien sûr, elle est peu reluisante : elle dénonce une société patriarcale violente envers les femmes désireuses d’émancipation, mais aussi les horreurs de ce sud états-unien, arriéré et sanglant, où la justice n’est qu’un vain mot. Pourtant, malgré cette brutale réalité, on ressort tout de même rassuré par ces femmes et ces hommes qui combattent au péril de leurs vies l’injustice et l’intolérance. Une lueur d’espoir, certes faible tant la bêtise semble omniprésente et contagieuse, mais bien présente et qu’il nous faut absolument entretenir.

 

Personnellement, je ne connaissais pas Elizabeth Freeman, maintenant si ! et j’en suis heureux car s’enrichir de modèles aux valeurs positives n’est que trop important pour donner le courage de faire de notre société un monde meilleur.

 

A partager à tous et toutes !