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Rojzman, Théa

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"Mourir (ça n'existe pas)" est un titre particulier, à l'atmosphère étrange, mais qui prend aux tripes et tout son sens à chaque page lue.
En abordant les thèmes de la mort, du suicide, de la souffrance, de la folie et du traumatisme, l'auteure Théa Rojzman s’attaque à des sujets difficiles, voire casse-gueule. De plus, son style graphique peut, pour des lecteurs "traditionnels", être répulsif.
L'erreur serait donc de passer à côté de cet album, qui à mon goût fait partie des BEST 2015, tant par l'efficacité de sa narration qui nous entraîne dans les tréfonds de l'âme humaine, que par les magnifiques peintures qui nous sont offertes (voir page 56). Théa Rojzman réussit l’exploit de nous faire vivre, de nous faire comprendre au travers de la vie de Yann, la naissance, le cheminement des angoisses de l'âge adulte. Elle parvient en quelques pages à nous rendre peine, mais aussi espoir.
Un titre fort à lire absolument !  - Michaël


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"Mourir (ça n'existe pas)" est un titre particulier, à l'atmosphère étrange, mais qui prend aux tripes et tout son sens à chaque page lue.
En abordant les thèmes de la mort, du suicide, de la souffrance, de la folie et du traumatisme, l'auteure Théa Rojzman s’attaque à des sujets difficiles, voire casse-gueule. De plus, son style graphique peut, pour des lecteurs "traditionnels", être répulsif.
L'erreur serait donc de passer à côté de cet album, qui à mon goût fait partie des BEST 2015, tant par l'efficacité de sa narration qui nous entraîne dans les tréfonds de l'âme humaine, que par les magnifiques peintures qui nous sont offertes (voir page 56). Théa Rojzman réussit l’exploit de nous faire vivre, de nous faire comprendre au travers de la vie de Yann, la naissance, le cheminement des angoisses de l'âge adulte. Elle parvient en quelques pages à nous rendre peine, mais aussi espoir.
Un titre fort à lire absolument !  - Michaël


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Des enfants, des adultes, quoi de plus banal. Tout le monde paraît être heureux, mais il n’en est rien. Les silences règnent, les silences pèsent. Certains adultes font du mal aux enfants et dans ce monde, qui ressemble beaucoup au nôtre, les cris de détresse sont rendus inaudibles par une étrange usine, qui s’appelle Grand Silence… « Grand Silence » est un conte pour adultes au sujet tabou, mais dont la médiatisation est de la plus haute importance afin de libérer la parole : celui des violences sexuelles commises sur les enfants. Les autrices, par ce récit poignant, illustrent parfaitement les travers de notre société en révélant les mécanismes moraux et sociaux qui engendrent le mutisme et le déni. Elles dénoncent et expliquent simplement par la métaphore comment une société peut fermer les yeux sur de tels actes et comment, on l’espère, y remédier. Ce titre est une réussite dans le message qu’il transmet. Alors oui, certes, le sujet est difficile, mais voilà, prendre conscience d’une chose, c’est déjà admettre son existence, le premier pas pour faire avancer notre civilisation qui, par certains égards, reste toujours inhumaine. Félicitations donc à ces autrices pour nous offrir matière à réflexion par un récit habilement mené et également illustré de façon remarquable.

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Des enfants, des adultes, quoi de plus banal. Tout le monde paraît être heureux, mais il n’en est rien. Les silences règnent, les silences pèsent. Certains adultes font du mal aux enfants et dans ce monde, qui ressemble beaucoup au nôtre, les cris de détresse sont rendus inaudibles par une étrange usine, qui s’appelle Grand Silence… « Grand Silence » est un conte pour adultes au sujet tabou, mais dont la médiatisation est de la plus haute importance afin de libérer la parole : celui des violences sexuelles commises sur les enfants. Les autrices, par ce récit poignant, illustrent parfaitement les travers de notre société en révélant les mécanismes moraux et sociaux qui engendrent le mutisme et le déni. Elles dénoncent et expliquent simplement par la métaphore comment une société peut fermer les yeux sur de tels actes et comment, on l’espère, y remédier. Ce titre est une réussite dans le message qu’il transmet. Alors oui, certes, le sujet est difficile, mais voilà, prendre conscience d’une chose, c’est déjà admettre son existence, le premier pas pour faire avancer notre civilisation qui, par certains égards, reste toujours inhumaine. Félicitations donc à ces autrices pour nous offrir matière à réflexion par un récit habilement mené et également illustré de façon remarquable.