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Alcoolisme

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Une petite merveille d’émotion pour ce titre jeunesse qui s’adresse à un large public.
Le récit de Mario Torrecillas est linéaire et fluide, il traite du football, sous l’angle du recrutement, mais pas que… Ici nous sommes les témoins d’une relation compliquée père/fils, il est question de rédemption, de responsabilité et de rêves… L’illustrateur, Artur Laperla, rend également une copie impeccable, son style basé sur la simplicité, la lisibilité et l’utilisation de couleurs vives, colle parfaitement à la dynamique du récit. Une vraie pépite espagnole offerte par les éditions « Nouveau Monde Graphic ».  - Michaël

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Après le remarqué « Jane, le renard et moi », voici le second tire du duo québécois Britt/Arsenault et une fois encore, nous ne sommes pas déçus. Les illustrations sont à tomber par terre, avec un style empreint de sensibilité et de finesse qui accroche autant le regard des jeunes lecteurs que des adultes. Isabelle Arsenault mixte les techniques : aquarelle, crayon de bois, pastel frotté, fusain, encre de Chine, gouache, collage, couleurs ajoutées à l’ordinateur, ce qui ajoute texture, profondeur ou contraste à ses illustrations. Le texte De Fanny Britt n’est pas en reste car même si le sujet n’est pas gai (l’alcoolisme), il nous emmène tour à tour dans l’euphorie, l’angoisse et au final, peut-être, l’espoir. Drame quotidien, famille bouleversée, notre duo réalise un album sociétal d’une grande justesse, sans pathos ni mièvrerie. En s’adressant aux enfants ainsi qu’adultes, elles réalisent un vrai tour de force. Bravo !  - Michaël
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Après le remarqué « Jane, le renard et moi », voici le second tire du duo québécois Britt/Arsenault et une fois encore, nous ne sommes pas déçus. Les illustrations sont à tomber par terre, avec un style empreint de sensibilité et de finesse qui accroche autant le regard des jeunes lecteurs que des adultes. Isabelle Arsenault mixte les techniques : aquarelle, crayon de bois, pastel frotté, fusain, encre de Chine, gouache, collage, couleurs ajoutées à l’ordinateur, ce qui ajoute texture, profondeur ou contraste à ses illustrations. Le texte De Fanny Britt n’est pas en reste car même si le sujet n’est pas gai (l’alcoolisme), il nous emmène tour à tour dans l’euphorie, l’angoisse et au final, peut-être, l’espoir. Drame quotidien, famille bouleversée, notre duo réalise un album sociétal d’une grande justesse, sans pathos ni mièvrerie. En s’adressant aux enfants ainsi qu’adultes, elles réalisent un vrai tour de force. Bravo !  - Michaël
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« Come home indio » est une bande dessinée dense, au ton rude, mais sincère.
Elle dénonce, via la vie de son auteur, les maux d’une société américaine violente et égoïste.
Elle parle de la famille, des racines, des origines : savoir d’où l’on vient pour savoir qui l’on est.