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Il était une fois Lou, jeune homme gringalet, parti en quête de la princesse Ronces. Après une première rencontre pleine de promesses, les deux jeunes gens s’étaient engagés à se retrouver, mais l’hiver et la forêt ont effacé toute trace de la princesse. Ronces connaît parfaitement les bois et ses habitants, parmi lesquels elle a grandi et règne. Aussi, pour retrouver sa dulcinée, Lou s’adjoint l’aide de la fée Margot. Cette dernière lui conte l’histoire de la princesse, convoitée par son père, le roi Lucane, et forcée à se cacher pour lui échapper. Vous aurez reconnu dans cette dernière phrase la trame de « Peau d’âne ». Et pourtant, c’est du côté de Grimm (et non de Perrault) que Stéphane Fert a puisé son inspiration : la princesse est futée, indépendante, forte, et se débrouille (elle) sans l’aide d’une fée… L’auteur livre ici sa version, féministe et terriblement sensuelle, du conte de notre enfance. Des touches d’humour bienvenues allègent cette histoire cruelle, enrichie et ponctuée de nombreux rebondissements. Pour la première fois à la plume et au dessin, Stéphane Fert déploie dans « Peau de mille bêtes » tout son talent. Il met à profit cette double casquette et creuse le récit aussi par ses choix graphiques et chromatiques. L’art qu’il déploie dans ses cases, magnifiques et inventives, illumine cette histoire déjà maintes fois racontée et ici brillamment réinterprétée. Bref, un gros coup de cœur pour cette petite merveille de bande dessinée ! Ados, adultes, retombez en enfance et succombez pour votre plus grand plaisir de lecture, au talent de conteur de Stéphane Fert.  - Michaël

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A la ferme, on va bientôt choisir un·e nouvelle·au chef·fe. Comme d’habitude les candidat·es sont des habitant·es : Pierre Cochon, Jeanne Poulette… Mais cette année, il y a un nouveau : Pascal Leloup. Sa candidature semble très appréciée. Il est drôle, rencontre tous les animaux, fait des photos avec les jeunes… Bref, il ferait le chef idéal.  Il est intelligent et en plus, ce qui ne gâche rien, très beau. Pourtant qui se cache vraiment derrière ce personnage qui fait l’unanimité ?
Davide Cali aborde ici avec humour tous les stratagèmes utilisés par les politiques peu scrupuleux·ses pour se faire élire. Fausses promesses, apparence trompeuse… toute la panoplie est réunie. 
Les dessins sont rigolos et truffés de petits détails pour les regards avisés.
Cet album amène petit·es et grand·es à réfléchir aux rouages de la politique tout en restant léger et drôle.
Il faut toujours se méfier de l’excès de confiance et surtout : l’habit ne fait pas le moine.

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Dans ce récit autobiographique, Aimée De Jongh nous raconte quatre histoires, quatre rencontres ayant pour point commun un chauffeur de taxi. Assise à l’arrière d’une voiture, elle nous fait parcourir le monde, de Paris à Los Angeles en passant par Washington ou encore Jakarta. Chacun de ces hommes délivre son histoire, tant bien que mal, à l’autrice pleine de vie et de gaieté. Des moments d’intimité rares ou se crée, au fil des conversations, un lien unique de confiance mutuelle.  

« Taxi ! » est un récit court, un huit clos empli d’humanité qui fait du bien ! - Michaël

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Le Dr Dunne pourrait-être un dentiste comme les autres s’il n’avait un penchant pour la douleur… Son sadisme aurait pu rester dans l’ombre s’il n’avait pas rencontré cette jeune fille au charmant sourire ferraillé… Passion, crimes et rebondissements rythment ce récit à l’illustration rétro, mais au charme certain. Augustin Ferrer Casas, par son récit, réussit à nous tenir en haleine jusqu’au bout. Il joue avec nos nerfs en nous envoyant sur de fausses pistes. Alors si vous ne savez pas quoi lire pendant les vacances, mettez-vous cette histoire « sous la dent », elle vous comblera, à n’en pas douter.

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Le monde tel que nous l’avons connu n’existe plus. La grande catastrophe a modifié à jamais l’avenir du genre humain. Victoria est l’une des rares survivantes. Elle erre dans cet univers dévasté à la recherche de ses parents qu’elle pense être la source d’une mystérieuse lumière apparaissant chaque nuit dans le ciel. Ce voyage, elle ne le fait pas seule : elle est accompagnée par Bajka, fidèle chienne dont la compagnie est source de réconfort. Un monde n’est plus, un nouveau est en place, mais les codes en sont bien différents... Bajka est une série jeunesse post-apocalyptique dont l’atout majeur est le mystère. Dans les deux premiers volumes de cette série, composée de 6 au total, nous faisons la connaissance de Victoria et Bajka, apprenons leur caractère et apprécions leur complicité. L’intrigue est posée, mais entourée d’un épais brouillard fait d’étrangeté et d’interrogations. Que s’est-il passé ? Qu’est devenu le genre humain, dont Victoria semble être la dernière représentante ? Et les animaux : sont-ils maintenant tous doués de parole ? Des questions, mais pas encore de réponses. Qu’importe puisque le récit est brillamment écrit. Le rythme est soutenu, la lecture rapide, ce qui nous frustre un peu car il faudra attendre encore pour en connaître la conclusion. Les illustrations de ce jeune artiste polonais sont fraîches et dynamiques. Il utilise un gaufrier avec peu de cases, au parfait mixage entre cultures états-unienne et européenne, d’où ce dynamisme qui nous entraîne. Ses planches, aux teintes orangées, rendent une ambiance particulière, pesante, et un jeu de couleurs permet aux jeunes lecteurs de pouvoir différencier l’avant et l’après apocalypse. Grâce à une atmosphère singulière et une mise en scène différente, ce titre se démarque de la production actuelle ; il mérite pour cela toute notre attention.   - Michaël

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Andrew et Suzie, sa petite sœur, accompagnent leur mère dans ce qui semble être davantage un pèlerinage familial que de véritables vacances. À Kingdom Fields, petite bourgade de bord de mer, il n’y a rien à faire, sinon tromper l’ennui en se créant ses propres souvenirs.⠀

Lire les œuvres de Jon McNaught, c’est redécouvrir et réapprendre les codes de la bande dessinée. C’est se dire que ce média est tellement inspirant et libre qu’il est source d’innovation constante. Cet artiste est de cette trempe, celle des innovateurs : il a compris la force narrative du neuvième art, se l’est accaparé pour nous en proposer sa version, sa vision. Il offre ainsi des œuvres riches en émotions, contemplatives et/ou tout simplement méditatives. Elles sont rythmées par une gestion du temps anormalement lente, de la « slow attitude » pour ainsi dire. Attention, on ne s’ennuie pourtant dans ses histoires, à aucun moment. « L’été à Kingdom Fields » ne déroge pas à la règle et ce qu’on pourrait penser comme un banal récit de vacances est bien plus. Telle une madeleine de Proust, il ouvre une porte sur nos souvenirs, notre passé. Les personnages du récit parlent peu : un ado qui voudrait être ailleurs, une mère qui a besoin de se retrouver et une petite encore innocente, bref, des portraits que l’on connaît, qui nous parlent. Oui, il y a peu ou pas de dialogue, pourtant le récit n’est pas muet pour autant, la bande son est bien présente, sous forme d’onomatopées, elle occupe l’espace scénique à la manière d’un quatrième personnage. Comme dans la vraie vie où les sons et les bruits nous entourent, mais que nous n’entendons plus par habitude, l’auteur les retranscrit et accentue ainsi encore plus cet effet d’immersion. Jon McNaught utilise, pour dessiner son histoire, des gaufriers de 20 petites cases, entrecoupées par moment d’illustrations pleines pages. Il se permet de zoomer sur des détails, écouter des gouttes tomber de la paroi d’une grotte, afin de créer cette ambiance unique. Sa palette de couleur est limitée à un jeu d’ombres et de lumières, oscillant entre des nuances de bleu et de saumon. ⠀

« L’été à Kingdom Fields » est une douceur à savourer autant de fois que possible.  - Michaël

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Les géants ne sont plus, leur règne de terreur est à peine achevé que déjà un nouvel ordre émerge, mais nul ne sait s’il en sera meilleur. De ce passé récent il ne reste que Petit, dernier géant encore en vie. Il est l’objet de nombreuses convoitises politiques, lui qui a toujours été un paria parmi les siens du fait de sa petite taille, est aujourd’hui parmi les hommes un objet de convoitise et de violence... Troisième volume de cette formidable saga qu’est « Les Ogres-dieux », on retrouve ici tous les ingrédients qui ont fait le succès des premiers volumes : action, suspense, émotion et réflexion sont toujours au rendez-vous ! Bien évidemment le récit se renouvelle, on prend plaisir à retrouver des personnages familiers, mais qui du fait d’événements tragiques, changent et deviennent différents, pour le meilleur comme pour le pire. Sous couvert de récit fantastique, cette œuvre est une véritable analyse de la psyché humaine : l’œuvre du scénariste Hubert est un reflet de notre société contemporaine, où l’ambition et la cupidité politique, mais également individuelle, sont le véritable danger de toute civilisation. Heureusement certaines valeurs survivent et donnent l’espoir d’un monde meilleur. Cet univers est délicatement mis en image par Bertrand Gatignol, dont le talent n’est plus à redire. Son style, à la fois classique, mais également moderne, fait que son travail sera apprécié par un large public. Sa colorisation noir et blanc et la précision de son trait siéent à merveille au récit de Hubert. Courez vite découvrir cette saga qui n’en finit pas de séduire !  - Michaël

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A la lecture de ce manga on ne peut s’empêcher de penser au film d'Harold Ramis, Un jour sans fin, où le héros incarné par Bill Muray ne cesse de vivre la même journée... Mais voilà, ici point d'humour, mais la guerre dans toute son horreur. Notre jeune héros revit inexorablement sa mort, jusqu'au moment où il comprend qu'il peut influer sur le destin et sur, on l'espère, le résultat de cette guerre contre les envahisseurs extraterrestres. L'histoire devient captivante et on suit le jeune Keiji dans ces boucles temporelles, si bien amenées qu'elles ne nous perdent aucunement. De là, nous nous prêtons au jeu et nous revivons ces innombrables journées à la recherche de solutions afin d'aider notre champion. Un manga de science-fiction en seulement deux volumes, ce qui est assez rare pour le signaler, et dont le scénario riche et dense a été adapté au cinéma sous le nom de Edge of Tomorrow. Que les spectateurs du film se rassurent : ils peuvent lire cette BD sans sentiment de redite : les scenarii diffèrent suffisamment pour que cette lecture s'impose.  - Michaël


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Dans l'ombre, un éléphant reste allongé, toute la journée, rempli de chagrin. Les autres animaux se mettent en tête de le divertir : ils lui racontent des blagues, lui font un numéro de swing-cancan ou lui apportent son plat préféré, de délicieuses feuilles d'acacia. Mais rien n'y fait : l'éléphant reste dans l'ombre, muet, maussade. Quand un jour, une petite souris vient s'assoir à côté de lui. Elle ne cherche pas à distraire ou à consoler l'éléphant, elle veut juste être à côté de lui pour se reposer un petit peu... et lui raconter son histoire. A travers cet album, Nadine Robert et Valerio Vidali nous parlent d'un thème peu commun en littérature jeunesse : celui de la dépression. Sans moralisme et sans aborder le sujet avec des réponses toutes faites, c'est plutôt avec douceur et subtilité que .le duo s'empare de la question Au début de l'album, l'opposition est marquée entre l'éléphant, dans l'ombre, seul avec son chagrin et sa douleur, et les autres animaux qui figurent sur des pages colorées, en plein soleil. L'arrivée de la souris est marquée par une palette de couleurs plus nuancée et coïncide avec le coucher de soleil et le lever de lune, qui se transformera en clé à la fin du récit, comme annonciatrice d'un nouvel espoir. La technique de l'illustration et de la colorisation utilisée, inspirée du pointillisme, apporte de la douceur au propos. Ce bel album doux nous rappelle qu'il n'y a pas de recette miracle pour faire face à la tristesse des autres. Parfois, ce qui est nécessaire, c'est de tomber sur la bonne petite souris.

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Saviez-vous que l'ocelot sert parfois de repas à ses cousins plus gros que lui ? que les jaguars rivalisent avec Usain Bolt au sprint, mais aussi avec Florent Manaudou à la nage ?

Un style graphique original et maîtrisé, des explications claires et souvent surprenantes : que vous aimiez les félins ou non, ce très bel album documentaire se déguste, pour petits et grands.  Nolwenn

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"Mourir (ça n'existe pas)" est un titre particulier, à l'atmosphère étrange, mais qui prend aux tripes et tout son sens à chaque page lue.
En abordant les thèmes de la mort, du suicide, de la souffrance, de la folie et du traumatisme, l'auteure Théa Rojzman s’attaque à des sujets difficiles, voire casse-gueule. De plus, son style graphique peut, pour des lecteurs "traditionnels", être répulsif.
L'erreur serait donc de passer à côté de cet album, qui à mon goût fait partie des BEST 2015, tant par l'efficacité de sa narration qui nous entraîne dans les tréfonds de l'âme humaine, que par les magnifiques peintures qui nous sont offertes (voir page 56). Théa Rojzman réussit l’exploit de nous faire vivre, de nous faire comprendre au travers de la vie de Yann, la naissance, le cheminement des angoisses de l'âge adulte. Elle parvient en quelques pages à nous rendre peine, mais aussi espoir.
Un titre fort à lire absolument !  - Michaël


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La lutte contre la maltraitance animale est un sujet qui alimente les débats dans notre société. Aussi juste soit-elle, elle remet en cause bons nombres de croyances et/ou de pratiques plus ou moins barbares.
Alors, à raison, if faut se demander ce qu’est la maltraitance animale et où commence-t-elle ? Le débat est ouvert…

« Sandrine et Flibuste » et « Les droits des animaux en questions » sont deux titres qui abordent le sujet. L’un par des minis récits en bande dessinée où avec humour et cynisme, l’autrice aborde des thèmes explosifs comme l’élevage intensif, le broyage à vif ou encore la chasse à courre. Elle interroge en cela le rapport de domination de l'humain sur l'animal.
L’autre titre a une approche plus scientifique et juridique. Il va nous conter l’histoire de l’humanité et son rapport avec ce monde animal dont elle oublie souvent qu'elle en est. Il va s’attarder également sur le cadre juridique, l’animal est-il une chose, un meuble ? Les avancées de ces dernières années en matière de droit et le chemin qu’il reste encore à parcourir pour offrir à l’ensemble du vivant la vie qu’il mérite.

Gandhi a dit : « On peut juger de la grandeur d'une nation et ses progrès moraux par la façon dont elle traite les animaux. »… Alors où en est-on ?

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Lou a 50 ans. Antiraciste, bouddhiste et ancien professeur d’université, il est aujourd’hui chauffeur de taxi dans le Mississippi protestant et conservateur du Ku Klux Klan. Bien sûr Lou a tout du anti-héros, il est forcément aigri (on le serait pour moins que ça), légèrement tendu (faut dire qu’il s’enquille des journées de 12 à 15 heures dans une caisse pourrie en buvant du Redbull) et passe donc son temps à faire des doigts d’honneur à tout-va (ce qui vous me direz n’est pas très politiquement correcte pour un bouddhiste).

Donc Lou pourrait-être un abruti lambda vulgaire, détestable et violent car sa situation personnelle n’est vraiment pas reluisante et qu’il faut bien trouver un exutoire quelque part. Mais Lou est tout l’inverse car il est plein de paradoxes et que fondamentalement il est dépourvu de méchanceté mais pas de dérision. C’est ce qui rend ce personnage fort attachant et c’est pour ça que je vous invite à partager quelques courses avec lui.

Partez à la rencontre de passagers plus déglingués les uns que les autres, à la découverte de l’Amérique ultra-libérale et de ses laissés-pour-compte ! Laissez-vous conduire par Lee Durkee, à la manière d’un John Fante ou d’un William Faulkner contemporain, sur les routes désargentées du Sud des Etats-Unis !

Dans le même esprit je vous invite, également, à découvrir l’œuvre de John Fante et notamment « demande à la poussière » et à voir « Taxi Driver » de Martin Scorsese ou « Taxi Blues » de Pavel Lounguine. Enfin, Rayon BD vous pouvez aussi emprunter à la Médiathèque « Taxi ! » d’Aimée De Jongh et « Yellow Cab » de Chabouté (adapté du roman éponyme de Benoît Cohen).

Bon voyage au pays de Donald et Mickey sous méthamphétamine (âmes sensibles s’abstenir).
 

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Márcia est infirmière. Elle vit dans une favela de Rio et comme tous et toutes, elle a du mal à joindre les deux bouts. Pourtant sa vie n’est pas si mal, si ce n’est sa relation avec Jaqueline, sa fille, qui fricote dangereusement avec les dealers du coin… 

« Écoute, jolie Márcia » est un titre brésilien au fort goût d’authenticité, celle de la vie difficile dans les bidonvilles de « L'éternel pays d'avenir ». On y croise des personnages aux forts caractères, mais au courage essentiel pour survivre dans cette société pétrie de violence. Tout au long de cette lecture, on découvre des portraits de femmes et on comprend le rôle qu’elles jouent dans l’ombre, ô combien important pour maintenir un peu d’humanité dans la société brésilienne. Au-delà, cette oeuvre est aussi une histoire de famille, celle du combat d’une mère pour offrir à sa fille un meilleur avenir.

Marcello Quintanilha possède un style graphique propre, aux volumes et aux couleurs généreuses, pleines de vie et de passion, sans nul doute, à l’image de son pays.

« Écoute, jolie Márcia » est un récit remarquablement écrit, au suspense intenable qu’il sera difficile d’oublier.

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L'action se déroule dans le Transsibérien. Des conscrits sont emmenés en Sibérie mais ne savent pas où exactement. L'un d'eux, Aliocha cherche à déserter, il tente de fuir et se cache. Deux personnages embarqués dans une histoire où la question de la confiance est sans cesse en jeu. A chaque arrêt dans une nouvelle gare, la tension monte. Fort suspens de cette traque dans l'environnement clos du Transsibérien. C'est aussi le rythme de ce train mythique traversant les paysages de steppe, puis de taïga.

Un style qui va à l'essentiel à la fois poétique et brutal. Une très belle écriture. Ce petit livre court mais vraiment intense est un vrai bijou de lecture !

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et si on en parlait en BD

 

Le droit à la fin de vie

 

Depuis de nombreuses années déjà, les débats autour du droit à l'euthanasie et au suicide assisté sont présents dans notre société, mais ces pratiques restent illégales en France.

 

La loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie (dite loi « Léonetti ») affirme, sous certaines conditions, un droit au « laisser mourir » sans souffrance évitable et dans le respect de la dignité du patient. Cependant, pour beaucoup, cela ne suffit pas et iels souhaitent une nouvelle loi légalisant 'l'aide active à mourir'. Le débat reste donc ouvert...
Nous vous proposons de découvrir trois bandes dessinées ayant pour sujet le droit à la fin de vie choisie. Elles donnent matière à penser par leurs récits fictifs ou inspirés de faits réels, à comprendre ce sujet de grande importance. Des récits tendres, émouvants, et paradoxalement emplis d'espoir comme jamais.

 

En toute conscience
de Livio Bernado et Olivier Peyon
éd. Delcourt

 

La dame blanche
De Quentin Zuttion
éd. Le Lombard

 

Mes mauvaises filles
De Zelba
éd. Futuropolis