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Iris et Jada sont deux soeurs jumelles : elles se ressemblent comme deux gouttes d'eau, une seule chose les distingue : leur couleur de peau. Celle d'Iris est claire comme l'acacia, et attire de nombreux compliments de tous les habitants du village. Celle de Jada est aussi foncée que le cacao et tout le monde l'appelle « L'enfant de la nuit ». Lors d'une partie de cache-cache qui s'éternise, Jada, lasse de ces remarques, s'en va dans la forêt, à la rencontre d'un de ces enfants de la nuit à qui elle ressemblerait tant. Iris, très inquiète de ne pas voir sa soeur chérie revenir, s'en va alors à sa recherche... Après Comme des milliers de papillons noirs, Laura Nsafou revient nous livrer un bel album sur la couleur de peau et la différence. Comme cela fait du bien de voir des petites héroïnes à la peau noire, largement sous-représentées dans les albums ! Le récit écrit à la manière d'un conte africain est touchant et aborde avec justesse les différences et les comparaisons dans une même fratrie. Les illustrations de Barbara Brun nous offrent de beaux paysages, une palette de couleurs douces et complètent poétiquement le récit. Le sujet abordé, ainsi que le texte subtil en font un album qui apporte un vent de fraîcheur en littérature jeunesse.

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Il y a quelques années, dans un pays voisin, un homme qui aimait les carrés plus que tout prit le pouvoir par la force. Ce jour là, les rectangles, les ronds, les triangles, tous ceux qui n’étaient pas carrés, disparurent. Le pays sombra alors dans le malheur, jusqu’à ce qu’enfin… Ximo Abadia, talentueux auteur espagnol, nous raconte une histoire qui n’est certes pas la nôtre, mais dont le message est universel : celle de la liberté. Vous l’aurez compris, cet album parle, sans le nommer, du militaire Franco qui imposa de 1936 à 1975 un régime dictatorial en Espagne et fit de nombreuses victimes. Bien évidemment, l’auteur utilise l’art de la métaphore, de la parabole pour en livrer une version simplifiée mais efficace. Il dénonce ce drame, mais avertit également que le monde est fragile et qu’il peut vite, si l’on n’ y prend pas garde, sombrer facilement dans l’obscurantisme.

Ximo Abadia est un artiste à l’œuvre unique et reconnaissable entre toutes. Illustrateur graphiste, il joue avec les couleurs, les formes et les matières, rendant un ensemble étrange, mais cohérent, dynamique et époustouflant. 

« Le Dictateur » est une œuvre de mémoire nécessaire et dont le positionnement est rare en littérature jeunesse.

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Adam Strange, super-héros terrien, est connu pour ses exploits sur la planète Rann. Là-bas, il a endossé le rôle de chef de guerre, luttant et vainquant une terrifiante invasion extraterrestre. Son histoire et ses combats, il les raconte dans un livre au succès fulgurant. Cependant, la véracité de ses dires est mise à défaut par un lecteur, lui reprochant l’omission de nombreux massacres d’innocent·es… Quelques heures plus tard, ce même lecteur est retrouvé assassiné.

« Strange adventures » n’est pas un récit de super-héros traditionnel, non, il s’apparente plus à un récit de guerre dont il est difficile de parler sans trop en dévoiler. Cependant, lorsque l’on referme cette œuvre monumentale de 364 pages d’enquête, de rebondissements et d’émotions, nous restons sans voix, épuisé·es par cette lecture exigeante, par la trame implacable qui nous tient et ne nous libère que bien après avoir refermé ce livre. Cette force narrative est l’apanage des auteur·rices états-unien·nes qui jouent avec nos nerfs pour mieux les tordre, mieux nous essorer. « Strange adventures » est une étude, un questionnement sur la guerre, les choix, les actes et leurs conséquences.

Côté illustrations, deux artistes se partagent le travail : l’un pour la partie du récit se déroulant dans le présent, l’autre pour la partie située dans le passé. Cette dualité de style permet aux lecteur·rices de voyager facilement dans le temps, mais aussi d’apprécier en parallèle, le travail de deux artistes de qualité.

« Strange adventures » est un bien plus qu’un récit de super-héros, il est un questionnement sur notre humanité… rien que cela !

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Après "Déluge" et "Marmelade" ou encore "La fête des crêpes", nous retrouvons l’autrice illustratrice suédoise Cecilia Heikkilä avec beaucoup de bonheur.

Un matin, petit ours interroge son grand-père ours à propos d'une carte postale accrochée sur son frigo. « C’est un endroit merveilleux », répond grand-père ours, « il se situe de l’autre côté de la mer, entre des montagnes de glace et des lacs sans fond. Il s’agit… du dernier avant-poste. » Petit ours a alors très envie d’y aller. Grand-père est d’accord, mais il faut un peu de préparation pour partir à l’aventure. Et un beau matin, les voilà embarqués pour le plus beau voyage de leur vie…

Ce bel album nous parle de voyage, de lien intergénérationnel, de désillusion aussi, et d’écologie. Il invite à la rêverie. Il donne envie de quitter sa maison et de s’en aller vers des endroits lointains et inconnus. Partir en voyage, c’est se confronter à la réalité des choses, parfois assez éloignée de ce qu’on avait imaginé. C’est aussi faire des rencontres et découvrir des lieux merveilleux.
Les illustrations toutes en douceur nous transportent à travers des paysages magnifiquement illustrés, aux sublimes couleurs pastel. Au fil des pages qui se tournent, on ressent comme une belle bouffée d’oxygène.

Cet album paisible, réconfortant, est un petit nuage très agréable à déguster en ce froid mois de février.

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Conteur sans pareil, Paco Roca, nous livre une nouvelle fois un récit empli de tendresse et de mélancolie, mais non dénué de vie. A la lecture de ce récit nous pourrions supposer à une autobiographie tant les scènes, les situations sont justes. Il n’en est pourtant rien ! Chapeau l’artiste. 
Ce récit  touchera certains et réveillera de nombreux souvenirs…  - Michaël

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Voici un titre des plus étranges, difficile à classer ou à destiner à un public en particulier. Sa narration est composée de saynètes aux chutes rigolotes, mais parfois, voire les deux en même temps, mélancoliques. Nous découvrons donc Maya, une jeune fille de 8 ans qui vit avec son oncle (ses parents ayant disparu avec le vol BW 404). Personne ne sait s’iels ont survécu et cette question sera le fil conducteur de l’album. Cette question on la ressent en Maya, elle flirte avec le désespoir et l’espoir, ce dernier, pourtant si faible, l’empêche de sombrer.

Tout au long de l’album, elle se questionne sur le monde, comment il fonctionne, pourquoi sommes-nous là ? Elle interroge son oncle, son ami Léonardo, sur la place de l’humanité eu égard aux végétaux et autres formes de vies animales. Chacun·e apporte sa pensée, sa vision des choses, mais également des faits scientifiques. Ce mélange de science et de philosophie fonctionne à merveille, nous nous attachons à tous·tes les protagonistes jusqu’à cette fin, véritable claque scénaristique qui nous laisse sans voix, stupéfait, branlant et déjà en manque de la suite…

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Voici un titre jeunesse, adressé en particulier aux ados et préadolescents. Nous y retrouvons tous les codes des meilleurs romans « youg adult », tels « Hunger games » et autre « divergente » : héros adolescents, action, secrets, fantastique, etc. Le récit développé avec tact et maîtrise scénaristique, ménage des plages de suspense et permet ainsi à chacun de s’y retrouver et de prendre du plaisir.  - Michaël
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Comté d'Essex, Ontario, Canada. Des hommes de tous âges se croisent sans se connaître. Chacun avec son histoire, ses joies, ses peines. Ils sont enfants, parents, retraités. Ils sont nés à des époques différentes. Ils ont tous un point commun : ils racontent un pan de l'histoire du comté d'Essex.  - Michaël


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Colette est une petite fille un peu timide qui vient d'emménager dans le quartier et a peur de sortir de la maison, d'aller vers l'inconnu. Pourtant, après une remontrance de sa mère, elle va devoir affronter sa peur et découvrir son nouvel univers. Douée d'une grande imagination, notre héroïne ne va pas tarder à faire de nombreuses rencontres. "L'oiseau de Colette" est un titre à classer dans "Mes premières bandes dessinées". Destiné aux plus jeunes, il est bâti pour le lectorat débutant : des illustrations pleine page agrémentées de bulles disposées de façon claire et précise. Bien sûr ce titre a d'autres qualités, à commencer par son récit. Une aventure pleine de surprises et de rebondissements, construite sur le mode de la randonnée, où l'on suit les péripéties de Colette avec enthousiasme. L'autre point fort de ce titre, ce sont ses illustrations : magnifiques. Elles sont pleines de tendresse, de douceur, cadrées à merveille et aux tons "crayon de bois" réhaussés, juste comme il faut, de deux ou trois couleurs. Encore un très bon titre jeunesse à lire et à partager.  - Michaël

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Le même jour, à la même heure, sont nés 43 enfants aux pouvoirs extraordinaires. Le riche et excentrique Sir Reginald Hargreeves parvient à trouver et à adopter 7 de ces nourrissons. Son but : les former et les entraîner à devenir la meilleure équipe de super-héros de tous les temps. Malheureusement, parfois, les meilleures intentions du monde peuvent s’avérer plus néfastes que bienfaisantes... « Umbrella Academy » n’est pas à proprement parler une nouveauté puisque son premier numéro est sorti aux États-Unis en 2008, remportant la même année l’Eisner et le Harvey Award de la meilleure nouvelle série, prix très prestigieux décernés au neuvième art. Alors pourquoi vous en parler aujourd’hui ? Tout simplement parce que Netflix l’a adaptée en prises de vue réelles. Deux saisons pour le moment, et c’est une véritable tuerie (au propre comme au figuré !). Du coup, cette plate-forme de vidéo permet de (re)découvrir ce titre aux charmes et atouts indéniables. Proches dans l’esprit et la forme, possédant la même énergie débordante et communicative, les deux versions diffèrent à quelques détails près. Cet univers (pour l’ensemble) est empli de mystères, de rebondissements et nous entraîne à chaque fois sur des chemins improbables. Il y a certes de l’action, beaucoup d’action même, mais également une place importante pour la réflexion. Des thèmes sous-jacents tels, pour ne citer qu’eux, la famille, la filiation ou encore la construction de soi, transparaissent tout du long de la saga et des épisodes. Chaque personnage a son caractère, ses blessures que l’on découvre petit à petit, des histoires dans l’histoire. Ne choisissez pas telle ou telle version : les deux sont captivantes, proches mais assez différentes pour vous surprendre chacune d’elle. Et bien évidemment le comics est disponible dans votre Espace COOLturel !  - Michaël

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Monsieur Henri vit dans un arrêt de bus depuis déjà très longtemps. Tellement longtemps que plus personne ne le remarque vraiment. Un jour, par le plus étrange des hasards, un éléphanteau vient s’asseoir à côté de lui.
Qu’il est beau ce petit éléphant, mais comme il a l’air triste… C’est décidé, Monsieur Henri va l’aider à retrouver sa famille même si pour cela il doit, un temps, quitter son abri…


« L’arrêt de bus » est un très joli album sur l’amitié et l’entraide. L’autrice délivre un texte certes court, mais empli d’une abondance d’émotions. D’une grande sensibilité, par moment mélancoliques, ces mots nous enveloppent d’une couverture de bien-être.
Ils sont en parfaite harmonie avec les délicieuses illustrations, au style « anglais » de Juliette Lagrange. Un travail pictural remarquable tant par le trait, fin et délicat, que par la mise en couleur : des aquarelles savamment travaillées, aux couleurs justes et équilibrées.


Leur travail de mise en scène est également à souligner, mélangeant allègrement illustrations pleine page, magnifiques de détails et saynètes plus intimistes, propices à l’émotion.


« L’arrêt de bus » est un très bel album, tout en retenue, propice à la lecture en famille.

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Guylaine passe une enfance heureuse auprès de ses parents, qui l’aiment, et de son meilleur ami Gilles. Et puis c’est la chute : la méchanceté de garçons, la maladresse des parents répandent des pensées néfastes dans son esprit : elle crée la catégorie des moches, s’y inclut et devient invisible, se rend indésirable. Elle essaie parfois de s’en extirper par divers stratagèmes : l’humour, l’amitié, l’amour, le travestissement. Devenue adulte, le statut de célibataire n’est pas simple à assumer ; Guylaine trouve des parades pour échapper aux jugements et se réfugie au théâtre. Plongée dans le noir de la salle, à l’abri des regards, elle écoute des textes libérateurs. Lentement, ces mots nouveaux, positifs, infusent jusque dans son esprit ; elle tisse de nouveaux liens, se crée de nouveaux espaces réflexifs qui l’aident à se libérer enfin du regard et des attentes des autres. A travers l’histoire de Guylaine, on touche d’abord à la problématique injonction faite aux femmes d’être belle, ce dès leur plus jeune âge et tout au long de leur vie. Vous pourrez objecter que, sous l’excellent coup de pinceau de Cécile Guillard et la fine plume de François Bégaudeau, Guylaine n’est pas moche, comme l’atteste la couverture de cette BD. Il s’agit moins d’une vérité que de son sentiment et d’un jugement, celui de certain(e)s porté à la va-vite et surtout celui que Guylaine porte sur elle-même : elle souffre du poids de mots malheureux. Ceux qui s’insinuent dans l’esprit, font courber l’échine, invisibilisent et crée des maux durables. Des mots, des textes, qui à l’inverse peuvent aider à révéler, à se révéler, hors du regard des autres, quitte à sortir de la norme parfois. S’accepter : le travail de toute une vie, en l’occurrence celle de Guylaine.  - Aurélie

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Aujourd’hui, la médecine est une science au service du vivant, mais avant d’être guérisseuse, elle était néfaste. Aux États-Unis, au 19ème siècle, elle était appelée la médecine « héroïque » parce qu’il fallait beaucoup de courage pour supporter les traitements de l’époque, souvent bien pires que les maladies ou les accidents eux-mêmes : saignées, purges au calomel (considéré de nos jours comme du poison), morphine... Stéphane Piatzszek et Benoît Blary nous embarquent dans un voyage à travers le temps en pleine guerre de Sécession durant laquelle un homme, le médecin Andrew Taylor Still, las des morts qui l’entourent, décide de tourner le dos à cette médecine traditionnelle qui ne sauve pas et surtout n’évolue pas. Il va, par différentes rencontres et en étudiant inlassablement l’anatomie humaine, mettre au point une pratique de manipulation du corps permettant le rétablissement des flux internes et des postures. Il crée ce qu’il appellera plus tard l’ostéopathie. Le récit, souffrant peut-être d’un manque de rythme, est néanmoins riche d’informations. Nous apprenons beaucoup sur l’époque, la dureté de la vie et de ces médecins souvent plus charlatans que compétents. L’humanité est également mise à mal dans ce titre où ignorance et intolérance sont des maux bien difficiles à éradiquer et constituent malheureusement un socle à notre condition. Fort heureusement, il y aura toujours des femmes et des hommes pour faire avancer, progresser la société, mais à quel prix... Une bande dessinée documentaire dense et instructive à mettre entre toutes les mains.   - Michaël

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En 2018 à Moscou, un père succombe sous les coups de ses trois filles âgées alors de 17, 18 et 19 ans. C’est le point de départ du roman de Laura Poggioli qui tout au long de son ouvrage, tente de comprendre comment trois jeunes femmes peuvent concevoir un tel acte et le mettre à exécution. Grâce à de nombreuses archives elle recompose le quotidien de ces trois filles et de leur mère depuis leur enfance jusqu’à ce jour fatidique où elles passent à l’acte. On découvre alors un père qui n’en a que le nom, tyrannique, abusif, violent, un monstre en quelque sorte et une société russe complice où patriarcat et tradition légitiment les violences faites aux femmes, où la corruption, la religion et le communautarisme murent les victimes dans le silence.

Le récit ne s’arrête pas là car il trouve une résonnance particulière dans l’histoire personnelle de l’autrice. Elle aime profondément la Russie pour y avoir vécu à plusieurs reprises, pour avoir appris sa langue, aimé ces habitants. Elle se souvient tout au long du roman des moments passés là-bas, de ses amis, du bonheur partagé, de cette société attachante et contradictoire. Elle se souvient aussi de ce petit ami violent « Mitia », comment avait-elle pu accepter son comportement ? Elle se souvient de toutes les violences dont elle a été victime, de celles qui ont été faites à ses aïeules dans une autre société, en France. Et c’est là toute la force de ce livre. Non, les violences faites aux femmes ne sont pas une pratique barbare d’un autre pays, d’une autre culture ! Elles existent partout, au quotidien, jamais anodines et toujours insupportables.

Un roman parfois dur mais absolument nécessaire, qui vous met en face de vos responsabilités, comme les trois regards qui vous fixent sur la couverture du livre. Ceux de ces trois jeunes Moscovites : Krestina, Maria et Angelina, si lointaines et si proches, sacrifiées comme tant d’autres sur l’hôtel du patriarcat.

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« Retour à l’Eden » est l’histoire vraie d’une photo, ou plus précisément d’une femme, la mère de Paco Roca. En déménageant, une photo s’égare, un détail… et pourtant ce cliché, Antonia y tient comme à la prunelle de ses yeux. Dès lors, elle sombre dans un abîme de tristesse.
Il ne reste plus pour Paco et ses frères qu’à retrouver cette photo pour comprendre cet attachement.

Paco Roca est auteur de bandes dessinée, mais aussi un véritable historien des petites histoires qui font la grande. Une nouvelle fois, il nous livre un récit familial sensible et émouvant. Ce cliché égaré fonctionne comme une machine à remonter le temps jusque sous le régime franquiste. Nous y retrouvons Antonia, enfant, accompagnée de ses parents ainsi que de ses frères et sœurs… Iels vont rire, s’aimer, se disputer comme dans n’importe quelle famille, mais ensemble, iels vont connaître la dictature, l’appauvrissement et la faim. Durant ces années sombres ou patriarcat et religion réservaient une place bien limitée aux femmes, Antonia connaîtra également les humiliations liées à son statut imposé.

Alors cette photographie… qu’a-t-elle de spécial me direz-vous ? Eh bien pour le savoir je vous invite chaudement à lire « Retour à l’Eden », une tranche de vies d’autrefois, intime et émouvante.

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Un nouvel album du duo Leroy/Maudet est toujours un bonheur. « Nous, quand on sera grands » ne déroge pas à la règle. Il est drôle, inventif et magnifiquement illustré. Á sa lecture, nous ne savons pas où nous allons, jusqu'à cette formidable chute. Alors, une fois terminé, on se dit, mais oui, mais bien sûr et pourquoi pas ? Le début de tout... Bref j'adore ! - Michaël